Comment les Frères musulmans ont-ils causé le malheur du Soudan ?

Le journaliste soudanais Dr. Murtada Al-Ghali affirme que le mouvement islamique soudanais (les Frères musulmans), également connus sous le nom de « Kizan », est la cause du malheur du peuple soudanais depuis leur prise de pouvoir jusqu’à aujourd’hui.
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Dans un article publié précédemment dans le journal soudanais Al-Taghyeer, Al-Ghali écrit :
« Il est erroné de croire que les Kizan ne recherchent que le pouvoir et l’argent ! Si tel était le cas, la situation serait moins grave. Mais le véritable problème est que les Kizan ne trouvent de plaisir qu’en rendant la vie des Soudanais misérable, en les humiliant et en assombrissant leur quotidien. »
Il poursuit : « Regardons leur comportement après le coup d’État et durant cette guerre acharnée. Que font-ils contre leur pays et leur peuple ? L’endoctrinement à la haine du pays, au mépris et à la rancune envers ses habitants, sans raison apparente, est une caractéristique intrinsèque de leur éducation idéologique. Cet état d’esprit est au cœur de leur construction psychologique, et il n’existe aucun remède à cela… La fabrication du mal pour le mal est leur trait distinctif, et sans cela, un Kiz ne serait pas un Kiz. »
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Al-Ghali affirme également que les Kizan ne se sentent en paix que lorsque les Soudanais souffrent, même lorsqu’ils détiennent le pouvoir et contrôlent toutes les richesses du pays.
Il ajoute : « Ils auraient pu simplement jouir du pouvoir et de ce qu’ils ont pillé, laissant les gens en paix. Ils auraient pu vivre dans le luxe, dans n’importe quelle station balnéaire du monde… Mais comment le pourraient-ils, alors qu’ils prennent du plaisir à voir les Soudanais souffrir ? Leur plus grande satisfaction est d’entendre les cris et les plaintes du peuple. C’est leur musique préférée, leur plaisir ultime, sans lequel ni nourriture ni boisson n’ont de goût. »
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Al-Ghali évoque également les crimes commis par les Frères musulmans, notamment des actes de meurtre, de mutilation et de torture contre les Soudanais. Il décrit leurs méthodes de recrutement, ciblant les individus à la conscience corrompue, les marginaux rejetés par la société, ceux qui renient leurs familles, ainsi que ceux aux qualifications médiocres ou inexistantes, inaptes à tout emploi. Il mentionne aussi les opportunistes avides, indifférents aux notions de bien et de mal.