Le président français a décidé d’adopter la politique des lignes rouges en Méditerranée orientale
Le président turc a menacé en mai dernier toute l’Europe et la Grèce en particulier, et il a dit: n’importe quel projet ou plan politique ou économique des Balkans jusqu’à la méditerranée et de l’Afrique du Nord au sud du continent, est voué à l’échec, si la Turquie en a été écartée.
Les menaces d’Erdogan sont viennent dans le temps où la Méditerranée orientale vit de grandes tensions parce que le président turc considère cette région, comme une zone de sa propre influence.
Néanmoins, la France qui examine de près l’escalade turque en Méditerranée orientale, n’a pas plu de cette situation. Alors après l’intervention turque aux eaux territoriales de Chypre, Paris voit qu’Ankara a dépassé les lignes rouges et ses menaces à la souveraineté de l’Europe, cette situation a poussé le président français a menacé également la Turquie.
En, effet, la Turquie suive des positions instables et contradictoires dans la région, c’est elle qui a enflammé l’escalade avec la Grèce, et un affrontement militaire peut être lieu dans la région, surtout avec l’accentuation d’Ankara sur une politique de provocation et d’escalade, et cela malgré les mises en garde européennes et la condamnation de la communauté internationale.
Après ces actes non tolérables de la Turquie, Pari a choisi d’étudier toutes les options contre Ankara, et finalement le président français a décidé de suivre la politique des lignes rouges en Méditerranée orientale, qui est déjà effectué en Libye contre Erdogan par le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi,
En outre, Macron a déclaré le 28 août, qu’il a choisi une décision ferme contre les gestes, en signalant qu’il a constitué des lignes rouges car la Turquie respecte les actions et non pas les mots. Il a affirmé la nécessité de suivre la politique de la ligne rouge afin de défendre la souveraineté en Méditerranée orientale, en disant: Je suis obligé d’être cohérent en actes et en mots, les Turcs ne considèrent et ne respectent que cela.
Il a également appelé l’UE à supporter la Grèce et Chypre face aux cupidités de la Turquie, en ce qui concerne les réserves gazières, tout en demandant à l’union d’imposer plus de sanctions contre Ankara pour lutter contre ses ambitions expansionnistes. Toutes ces déclarations ont pensé qu’une confrontation militaire aura lieu entre ces deux Etats-membres de l’Otan en raison des ambitions turques en Méditerranée orientale.
Par ailleurs, des responsables militaires turcs ont déclaré le dimanche que des exercices militaires vont effectuer durant cinq jours, à Chypre du Nord, et cela a provoqué une nouvelle anxiété sur la continuité de l’escalade et la possibilité d’une confrontation entre Ankara et Athènes.
Il faut noter que la France, l’Italie, la Grèce, Chypre ont effectué la semaine dernière des travaux militaires en Méditerranée orientale, et selon des analystes c’était une réponse à un essai d’exploration gazière par la Turquie dans la région.
