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Sous la bannière de la résistance… Crimes commis par le Hamas contre les Palestiniens


Le Hamas est un mouvement islamique extrémiste et l’un des plus grands partis politiques des territoires palestiniens. Il gouverne plus de deux millions de Palestiniens dans la bande de Gaza, mais le mouvement est principalement connu pour ses activités armées contre Israël. 

En Octobre 2023, le Hamas a lancé une attaque massive surprise dans le sud d’Israël, entraînant la mort de centaines de civils et de soldats, avec des dizaines pris en otage. En réponse, Israël a déclaré la guerre au mouvement et a indiqué que ses forces militaires prévoyaient une campagne prolongée pour le vaincre.

Malgré le fait que le Hamas brandisse la bannière de la résistance islamique, ce slogan n’est rien de plus qu’un prétexte que le mouvement a utilisé pour réprimer les civils palestiniens, comme l’ont observé diverses organisations internationales.

En 2015, Amnesty International a accusé le mouvement de mener une « campagne brutale » contre les civils palestiniens dans la bande de Gaza. Selon l’organisation, ils ont documenté plusieurs cas d’exécutions extrajudiciaires, avec 20 cas d' »exécutions sans décision judiciaire ». Selon l’organisation, dans un rapport précédent publié en 2015, la campagne comprenait « des arrestations, des actes de torture et des meurtres » de civils palestiniens.

Un autre crime souligné par l’organisation était la manière dont le Hamas réglait ses comptes avec ses opposants. Le rapport indiquait que les personnes qui avaient été torturées étaient « des membres du mouvement Fatah », que le Hamas considère comme un rival politique. Le rapport a souligné le fait tragique que, alors qu’Israël tuait un nombre significatif de civils, le Hamas a saisi l’occasion pour régler ses comptes avec ses opposants.

Dans son rapport, l’organisation a décrit le nombre de cas où des Palestiniens avaient été torturés et tués par des éléments du Hamas pour avoir aidé Israël comme étant « terrifiant ». La direction du Hamas a accordé à ses forces de sécurité une totale liberté pour commettre d’effroyables violations contre les Palestiniens. Certaines de ces violations relèvent du niveau de crimes de guerre, dans le but de répandre la peur dans la bande de Gaza.

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