Politique

Les Frères Musulmans tentent de nuire à l’État Égyptien par l’incitation contre le gouvernement


Les autorités égyptiennes ont dévoilé une nouvelle tentative d’organisation des Frères musulmans, visant à discréditer l’intégrité de l’État, ainsi qu’à fomenter contre les institutions officielles sous prétexte de corruption.

Dans une déclaration officielle publiée hier sur son site Web, le Ministère de l’intérieur égyptien a publié des informations sur des cas présumés de corruption des Frères Musulmans dans de grands organes officiels.
Il a déclaré : Récemment, les médias des Frères musulmans ont diffusé une conversation téléphonique entre une personne prétendant être le Général Farouk Al-Qadi et une femme du nom de Mirvat Mohamed, qui prétendait être chancelier de la présidence de la République, et leur accord selon lequel lui, grâce à des relations intermittentes avec de nombreux fonctionnaires de l’État, l’accès à des contrats pour la réalisation de plusieurs grands projets mis en place par l’État dans divers domaines, afin d’en tirer un profit matériel pour la femme.
Le Ministère a indiqué que le secteur de la sécurité nationale avait pu découvrir les circonstances de cette conversation téléphonique et y saisir les orateurs. Il a été constaté que le premier, Hanafi Abdul Razak, 61 ans, chômeur, résident dans la province du Caire, avait déjà été inculpé et condamné dans 22 affaires de crimes divers, « escroquerie, homicide involontaire et fouilles archéologiques », le second s’appelait Mirvat Muhammad Ali Ahmad Al-Badawi, 52 ans, professeur de droit résidant dans le gouvernorat d’Alexandrie. L’examen et l’enquête ont permis aux deux hommes d’être des éléments notoires de l’escroquerie et de la fraude dans le but d’obtenir un gain financier, et de l’absence de précédent pour leur travail dans des institutions publiques ou des organismes publics.
Le Ministère a révélé que l’accusé Hanafi Abdul Razak avait enregistré l’entretien téléphonique mentionné pour la promouvoir auprès de son entourage, qu’il avait diffusé auprès des milieux d’affaires afin de se donner l’impulsion nécessaire, et faire croire à d’autres personnes d’avoir des liens multiples avec divers responsables de l’État et qu’il était en mesure d’attribuer des contrats pour la réalisation de certains grands projets dans le pays à quiconque, dans le cadre de ses activités de racket.
Les enquêtes ont permis d’identifier l’individu en contact avec Abdullah Al-Sharif, qui a été nommé Wael Abdurrahman Suleiman Mohammed (42), un courtier, basé dans la province d’Alexandrie. L’association du courtier avec l’accusé Hanafi Abdul Razak et sa conversation téléphonique sont devenues apparentes dans la tentative de ce dernier de le convaincre de la force de ses relations et de la possibilité de lui accorder des occasions d’investir plus tard.
Le Ministère de l’intérieur égyptien poursuit : À la lumière de la détresse financière de l’accusé Wael Abdurrahman, il a décidé de contacter Abdullah Al-Sharif en fuite, lui fournir la conversation téléphonique visée en échange d’une somme d’argent, et l’a envoyé avec une promesse d’avoir encore des coups de fil sur l’approche de son lavage, mais Al-Sharif ne lui a pas donné le montant convenu.
Le Ministère a indiqué que les accusés avaient été arrêtés, et le téléphone portable en question entre Wael Abdel Rahman et Abdullah Al-Sharif qui comprenait les conversations entre eux à cet égard a été saisi; le Ministère a confirmé que le Sous-Secrétaire d’État à la sûreté de l’État était en train d’entreprendre des enquêtes.
L’organisation des Frères Musulmans, classée dans la plupart des pays comme une organisation terroriste, tente constamment d’offenser l’État égyptien pour avoir incité à la violence contre le gouvernement et l’armée, et se fonde sur les médias et les réseaux sociaux.

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