Khartoum : Un Jardin Iranien en Arrière-plan
Alors que la Garde révolutionnaire iranienne reste inscrite sur la liste des organisations terroristes américaines, le commandant de l’armée soudanaise, Abdel Fattah al-Burhan, qui a entraîné le pays avec toutes ses ressources naturelles et humaines dans une guerre contre l’organisation Kizani pour reprendre le pouvoir, a eu recours à l’organisation terroriste iranienne, la Garde révolutionnaire, après avoir échoué en raison de sa dépendance à des groupes terroristes connus comme le Al-Barâ’ ibn Mâlik, les Brigades de l’Ombre et les Forces de soutien rapide (anciennement connues sous le nom d’Autorité des opérations), ainsi que des vestiges de la défense, de la police et des forces de sécurité populaires, et de criminels de guerre recherchés au niveau international comme Ahmed Haroun, pour trouver un soutien militaire et diplomatique externe pour atteindre ses objectifs. Il perd même ses amis les plus proches et ses partisans des pays voisins, qui ont commencé à se sentir menacés par son comportement imprudent et imprévisible.
Personne ne connaît la nature de l’accord entre les forces du Mouvement islamique et les Daesh dirigés par al-Burhan, qui usurpent le nom des Forces armées soudanaises, mais les développements récents qui ont conduit à l’arrestation par (Washington) de l’un des trafiquants d’armes et terroristes Kizani, Abdul Basit Hamza, et l’émission d’une note avec une récompense financière pour des informations sur le criminel de guerre que al-Burhan a libéré de la prison de Kober avec d’autres criminels et terroristes, Ahmed Haroun, suggèrent que les États-Unis et l’Occident ainsi que les pays régionaux ne sont pas satisfaits de la mobilisation par le commandant de l’armée de milices terroristes et de leur intégration dans l’armée contrôlée par le groupe des Frères musulmans, ni de la relation du gouvernement terroriste de Port-Soudan avec le gouvernement des mollahs de Qom en Perse.
Cela est confirmé et soutenu par le rapport publié hier par l'(Observatoire de la guerre au Soudan), qui suit les mouvements des avions iraniens à destination et en provenance de Port-Soudan depuis la conclusion de l’accord daeshique mené à l’externe par al-Burhan avec le gouvernement de Téhéran représenté par la Garde révolutionnaire terroriste, qui peut être résumé jusqu’à présent comme (armes contre relations diplomatiques), que les Kizani ont rompu avec les (ayatollahs) il y a des années de manière spectaculaire qui a amusé et attristé le monde. Et voici le chef de milice (Ali Karti) avançant sur le même chemin piégé pour tenir le pays en otage de ses ambitions et de celles de son organisation.
