Des traumatismes psychologiques graves commencent à se manifester chez certains soldats israéliens en raison de la guerre à Gaza, qui a éclaté le 7 octobre 2023.

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Le service de santé mentale de l’armée israélienne exprime sa préoccupation quant au retour des réservistes à la vie civile, déclarant qu’il s’inquiète des « difficultés fonctionnelles et de la situation où la vie quotidienne devient dénuée de sens ».

Les journaux israéliens ont révélé qu’environ 1 600 soldats souffrent de trouble de stress post-traumatique depuis le début de la guerre à Gaza, et environ 3 000 soldats ont sollicité l’aide de la ligne d’assistance en santé mentale de l’armée israélienne en raison de symptômes de stress et d’anxiété.

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Le site d’information israélien « Walla » a rapporté que « des symptômes psychologiques liés aux combats à Gaza sont apparus chez au moins 1 600 soldats israéliens depuis le début de l’opération terrestre ».

Selon le rapport, « les symptômes peuvent survenir pendant ou après l’activité, et les soldats peuvent ressentir, entre autres, une accélération du rythme cardiaque, une transpiration, une augmentation soudaine de la pression artérielle, des tremblements corporels incontrôlables, de la confusion et une incapacité à se déplacer ».

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Il a ajouté : « Si les symptômes persistent pendant plus de 4 semaines, l’état du soldat peut se détériorer en un trouble de stress post-traumatique sévère », précisant que « environ 250 soldats ont été libérés du service en raison de la persistance des symptômes de réaction au stress de combat ».