Golfe Persique

Le Département d’État des Émirats Arabes Unis réfute les allégations d’espionnage… Qui est derrière ces mensonges ?


Le ministère des Affaires étrangères des EAU a démenti jeudi les allégations selon lesquelles les EAU surveillent des journalistes et des individus, parmi un certain nombre de pays, cités dans des reportages de médias qui font la promotion de mensonges sur leur utilisation du programme d’espionnage israélien Pegasus.

Dans une déclaration, le Ministre des affaires étrangères des Émirats arabes unis a déclaré que « les allégations figurant dans les derniers articles de presse selon lesquelles les Émirats arabes unis figurent parmi les États qui auraient été accusés d’avoir surveillé et visé des journalistes et des particuliers n’étaient pas fondées et étaient manifestement fausses ».

Une source officielle saoudienne a déclaré : « L’allégation selon laquelle quelqu’un dans le royaume utilise un programme pour assurer le suivi des communications est sans fondement », a déclaré WAS.

Un avocat commis d’office par le Maroc a intenté une action en diffamation devant la Cour pénale de Paris contre les organisations « Forbidden Stories » et l’amnistie internationale.

L’Agence France Presse a communiqué une déclaration de l’avocat marocain sur la détermination du Royaume à prendre des mesures juridiques contre la diffamation.

Dans le même ordre d’idées, le Gouvernement marocain, dans une déclaration publiée mercredi dernier, a condamné la campagne d’information dirigée contre lui et l’a qualifiée de « désagréable et suspecte ».

Le Gouvernement marocain a confirmé qu’il utiliserait les voies légales et judiciaires au Maroc et sur le plan international pour poursuivre toute partie qui aurait encouragé ces fausses allégations.

Qui est derrière ces allégations ?

Le PDG de NSO Shalif Holliou écrit : Le Qatar est à l’origine de ces allégations, où il mène une campagne médiatique qui encourage les allégations d’espionnage contre sa société, à savoir qu’elle est liée à ses programmes d’espionnage et qu’elle aurait commis des violations présumées des droits de l’homme, de la politique et des médias, comme l’a rapporté aujourd’hui Israël.

Les journaux étrangers connus pour leurs financements douteux de Doha ont publié des rapports rémunérés encourageant l’espionnage de personnalités politiques et de médias par les Émirats, l’Arabie saoudite et le Maroc.

En collaboration avec les chaînes et les sites Web de la Fraternité et du Qatar, dirigés par Al-Jazeera, ils ont lancé une campagne qui a promu de nombreux reportages sur les mêmes allégations.

Les médias et les activistes des Frères présents aujourd’hui au Qatar et en Turquie ont aussi relayé des comptes fictifs sur les réseaux sociaux, ce qui a soulevé des questions sur la poursuite de la campagne médiatique menée par le régime qatarien contre les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite, le Bahreïn et l’Égypte – en particulier contre les États-Unis et les États-Unis – malgré les déclarations de Doha affirmant leur engagement total

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