La Turquie promeut comme l’un des exportateurs d’armes dans le monde pour deux raisons, lesquels ?

 Erdogan et son gouvernement sont arrivés à un endroit fermé après que la Turquie a échoué de respecter les contrats de production militaire avec la Corée du Sud il y a à peu près cinq ans.

Avec l’émergence de la Turquie comme l’un des fabricants et exportateurs mondiaux d’industries militaires, les importations d’armes et les principaux intrants de production du pays montrent qu’Ankara est uniquement un complexe de sociétés mondiales d’armement.

Après plusieurs mensonges de la Turquie concernant ses capacités dans l’industrie militaire, l’Europe a pris une décision d’arrêter ses exportations de matières actives et de principaux intrants de production dans les industries militaires à Ankara alors qu’elle dit que ces matières sont une production purement nationale et non européenne.

La crise de la Corée du Sud 

Il faut noter qu’en 2015, la Turquie a signé un contrat avec la Corée du Sud à travers la société Joschonoz pour faire une exportation des corps d’hélicoptères, cependant elle n’a livré que 15 des 60 convenus.

D’après ce que des rapports sud-coréens ont révélé l’incapacité de la Turquie à respecter l’obligation contractuelle parce que elle en fait importe la plupart de ces structures et certaines de ses matières premières des pays européens qui ont arrêté la fourniture après qu’Ankara a présumé qu’elle construisait ces matières.

De plus, la Turquie et avec cette étape inacceptable, pourrait faire face à des sanctions commerciales prochainement, selon des données européennes sur les lois de la concurrence et la prévention des monopoles,

D’après les données de la Commission européenne et de l’Office européen des statistiques (Eurostat), il y’a une réduction de exportations des pays de l’Union européenne vers Ankara, partiellement, dans les principaux intrants de production, alors sans lesquels les usines turques ne pourront pas travailler.

Détourner l’attention d’autres crises

Récemment, un rapport publié par le Carnegie Endowment for International Peace, sous le titre : L’industrie de la défense turque sans promesse, révèle que plusieurs raisons ont poussé la Turquie à se promouvoir comme l’un des exportateurs d’armes dans le monde. Il a montré également que les industries de défense turques sont la principale stratégie dans la politique de propagande étrangère d’Erdogan pour deux raisons, dont la première est que l’industrie détourne l’attention de la crise monétaire turque et de la politique étrangère turbulente. Tandis que la seconde est ce que la Turquie appelle l’industrie de la défense, qui donne au pays une plus grande maniabilité dans sa politique étrangère, ce qui garantit moins de dépendance aux importations d’armes et plus d’indépendance, selon l’Institut américain.

Pour la Turquie, son industrie de l’armement détournera l’attention de la Turquie, en faire rechercher de l’énergie dans l’est de la Méditerranée, étendant son influence en Libye et poussant à l’opération Source de paix, qui a conduit les membres de l’OTAN à imposer des sanctions à la Turquie.

De nombreux obstacles

La Turquie et le Qatar ont conclu l’année dernière, un accord d’un milliard de dollars à propos de l’achat par Doha de jusqu’à 100 chars Altay à la Turquie. Néanmoins, la Turquie se pose sur l’expérience des moteurs allemands pour fabriquer ces chars, et l’Allemagne retient la technologie à la Turquie à cause de préoccupations politiques.

Ainsi, le drone turc Akinci est basé sur des turboréacteurs ukrainiens AI-450; alors que l’Ukraine est également réticente à partager la technologie militaire avec la Turquie, en raison des préoccupations du public à propos des droits de propriété intellectuelle et technologique.