Au Yémen, un bombardement rebelle fait 5 morts dont une femme
Cinq civils, dont une femme, ont été tués et 23 autres, dont deux femmes et cinq enfants, ont été blessés par un missile balistique lancé par la milice terroriste des Houthis dans le quartier al-Matar au centre de Marib.
Le Ministre de l’information du Yémen, Mouammar Al-Eryani, a condamné le massacre effroyable perpétré par la milice terroriste des Houthis en attaquant le quartier al-Matar à Marib avec un missile balistique iranien.
Dans une série de tweets qu’il a postés sur sa page officielle Twitter, le bombardement a été considéré comme un crime de guerre à part entière, et comme un acte de vengeance lâche, il reflète la situation de faillite de Houthis après les défaites et les pertes récentes.
Al-Eryani a déclaré : « Nous condamnons et condamnons avec la plus grande fermeté le massacre effroyable perpétré par la milice terroriste des Houthis de l’Iran, qui a visé le quartier d’al-Matar, peuplé, et les personnes déplacées dans la ville de Marib par un missile balistique de fabrication iranienne, qui a fait cinq morts parmi les civils, dont une femme, et 23 blessés, dont deux femmes et cinq enfants, dans des pertes sans fin ».
Il a ajouté : « La milice terroriste des Houthis a délibérément pris pour cible des quartiers résidentiels et des civils dans la province de Marib, crime de guerre à part entière, et a commis un acte de vengeance lâche qui reflète la faillite qu’elle subit après les défaites et les pertes subies par les héros de l’armée, de la résistance et des géants sur divers fronts ».
Al-Eryani a appelé à une action internationale contre les Houthis, ajoutant : « Nous demandons à la communauté internationale, à l’Organisation des Nations Unies, aux organisations de défense des droits de l’homme et aux envoyés des Nations Unies et des États-Unis d’Amérique de condamner clairement et sans équivoque ce crime odieux, de s’employer sans tarder à inscrire les milices des Houthis sur les listes internationales de terroristes, de poursuivre et juger leurs dirigeants et de veiller à ce qu’ils ne restent pas impunis ».
