Un expert révèle les plans et noms des centres de recherche des Frères Musulmans visant la région et l’Égypte
L’Égypte fait face à une guerre non conventionnelle menée par des centres de recherche politique et d’études analytiques qui lancent des campagnes médiatiques constantes visant à diffuser des rumeurs, à semer des troubles, à menacer la stabilité intérieure et la sécurité nationale, et à ternir l’image de l’Égypte sur la scène internationale. Ces campagnes mettent en avant les problèmes politiques, économiques et sociaux en ne soulignant que les aspects négatifs et en utilisant les réseaux sociaux comme plateforme pour propager des rumeurs trompeuses, dans le but de susciter l’indignation parmi les citoyens.
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Problèmes persistants
Ces centres se concentrent sur l’évaluation des politiques égyptiennes sous un angle critique, mettant en avant des accusations traditionnelles et vagues concernant les droits de l’homme, et critiquant les stratégies gouvernementales pour résoudre les problèmes économiques et sociaux, tout en influençant négativement les relations de l’Égypte avec des pays amis et des puissances internationales variées.
Le danger de ces centres réside dans la capacité de leurs chercheurs à créer une opinion publique erronée contre l’Égypte et son gouvernement, influençant les décideurs régionaux et internationaux. Cette menace s’est amplifiée avec l’émergence d’un vaste réseau de centres suspects et de rédacteurs à la solde de ces campagnes, coordonnant leurs efforts pour nuire à l’Égypte, à sa sécurité et à sa stabilité.
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Propagation de rumeurs et de mensonges
Hicham Al-Najjar, expert en questions de groupes terroristes, explique que ces centres visent à placer l’Égypte et d’autres États-nations sous une pression constante de rumeurs et de mensonges, pour affaiblir leur capacité d’influence et permettre ainsi de faire avancer d’autres agendas visant à affaiblir la région. En conséquence, les gouvernements sont accaparés à éteindre des incendies et à répondre aux rumeurs qui ne cessent de se propager.
Il ajoute que ce réseau de rédacteurs suspects et payés inclut de nombreux individus se faisant appeler penseurs et chercheurs, dont un grand nombre travaille au service du projet des Frères Musulmans et des mouvements politiques islamiques, en plus de leurs alliés occidentaux rémunérés, particulièrement dans les versions arabes de certains centres d’études occidentaux créés pendant la période du « Printemps arabe ».
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Il poursuit en indiquant que, depuis des années, ces chercheurs se sont spécialisés dans les campagnes de haine, soutiennent l’extrémisme politique et critiquent les États-nations et leurs institutions, en ciblant particulièrement l’Égypte, qui a toujours représenté un rempart contre les tentatives de déstabilisation de la région.
Parmi ces centres, on trouve l’Institut égyptien d’études basé à Istanbul en Turquie, l’Institut Brookings, et l’Institut de l’Union européenne pour les études de sécurité.