Les Frères veulent rendre l’administration de Biden contre le régime égyptien
Avec la déclaration du présent président américain, Joe Biden, qu’il donnait la priorité au dossier des droits de l’Homme dans le monde, des personnalités arabes et moyen-orientales des droits de l’Homme, qui possèdent des contacts avec les Frères musulmans, et qui présentent des hostiles envers les régimes au pouvoir, ont commencé à agiter ce dossier afin de se rapprocher de la nouvelle administration américaine.
Une fois Biden a commencé ses fonctions comme président, les Frères ont pressé leurs soi-disant défenseurs des droits humains pour révéler des fausses informations sur la scène égyptienne des droits humains, et à fournir des financement aux journaux américains afin de publier des rapports journalistiques qui attaquent l’Etat égyptien, afin de rendre la nouvelle administration américaine contre le régime égyptien.
Même si ces efforts restent inefficaces, dont l’administration de Biden n’y ayant donnée une moindre importance, les Frères musulmans continuent leur mauvais travail.
Union des forces nationales
En effet, le groupe terroriste a essayé de se montrer sous forme d’une opposition civile et non religieuse, et il a établi la soi-disant Union des forces nationales à Istanbul en Turquie, qui est guidée par le politicien égyptien proche des Frères, Ayman Nour.
De ce fait, la nouvelle Union dirigée par Nour, qui est l’ancien chef du parti libéral égyptien Al-Ghad, et ancien candidat présidentiel sous l’ère Moubarak, a essayé de se montrer comme une couverture afin d’accueillir toutes les forces nationales, et non pas uniquement les Frères musulmans.
Malgré tout cela, cette nouvelle entité n’est pas différente des autres entités que l’organisation des Frères avait déclenché en Turquie depuis 2013, mais l’exception cette fois-ci c’est l’administration Biden que les frères veulent implicitement d’interpeller via cette soi-disant union.
L’organisation tente ainsi à s’apparait dans un moule civil dans le but d’attirer des opposants civils égyptiens à ses côtés. De plus, Ayman Nour a annoncé que la nouvelle entité inclue des courants allant de l’extrême droite à l’extrême gauche.
