Moyen-Orient

Les forces terroristes au Yémen se partagent les rôles pour cibler le sud : Quel est le rôle des Frères Musulmans ?


Dans une tentative suspecte de créer autant de crises sécuritaires que possible et d’étendre le chaos, les forces terroristes yéménites adoptent une stratégie de partage des rôles dans leur agression contre le sud. Cela est particulièrement visible en ce moment entre Al-Qaïda et les milices houthis, dans les opérations terroristes visant le sud arabe, qu’elles soient directes ou indirectes.

La récente attaque terroriste dans la province de Shabwah représente une nouvelle étape dans ce partage des rôles. Les forces terroristes cherchent à maintenir leur présence et à stopper les opérations d’épuisement menées contre elles par les forces armées du sud à travers des opérations précises et qualitatives.

Les relations entre les organisations terroristes yéménites dans leur agression contre le sud arabe existent depuis longtemps, et elles sont devenues plus claires et plus enracinées au cours des années de guerre insensée depuis l’été 2014. Cette relation diabolique et suspecte est soutenue par les Frères musulmans, considérés comme les mentors spirituels des organisations terroristes.

L’objectif de ce partage des rôles entre les forces terroristes est de se partager le gâteau, en particulier les richesses du sud, notamment les ressources pétrolières, qui sont l’une des principales raisons pour lesquelles les forces terroristes ciblent le sud.

Les opérations de partage et d’échange de rôles entre les organisations terroristes ont traversé plusieurs phases au cours de la période passée, y compris l’échange de prisonniers et la réalisation d’opérations terroristes par l’une des parties pour alléger la pression sur l’autre.

Il est à noter que bien que la réalité militaire dans le sud ait brisé les organisations terroristes, elle a également réussi à révéler les relations suspectes qui unissent ces factions dans leur terrorisme, dont le but principal est d’empêcher le sud de réaliser l’un de ses acquis politiques les plus importants, à savoir les succès dans le processus de restauration de l’État et de séparation.

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