Le Turc al-Burhan et son palais à Ankara
La banlieue d’İncek dans la région de Gölbaşı est considérée comme l’un des quartiers les plus huppés de la capitale turque, Ankara. Malheureusement, elle est habitée par l’une des figures militaires et politiques les plus arriérées du monde. De plus, cette région lui a accordé la citoyenneté turque, selon l’ancien ambassadeur soudanais en Turquie, Adel Ibrahim, un homme digne de confiance et juste dont le témoignage valide le mois de jeûne.
Abdel Fattah al-Burhan, le commandant de l’armée soudanaise, est devenu un résident distingué d’Ankara en achetant une villa luxueuse dans ce quartier – un palais – pour la somme de 3 millions de dollars. Sa famille, composée d’une femme et de deux fils et d’une fille, réside actuellement là-bas. En effet, on a noté que l’homme gardait quelque peu secrète sa citoyenneté turque, bien qu’elle soit disponible en vertu de la loi pour tout étranger possédant une propriété d’une valeur de 400 000 dollars et plus. Cependant, il n’y a pas de secrets au Soudan ; des proches ont divulgué l’information à de nombreuses personnes, dont des politiciens et des journalistes. Néanmoins, personne ne s’en est soucié jusqu’à ce qu’il devienne sujet de critique, accusant certains politiciens d’avoir une double nationalité. Il distribue son allégeance au Soudan en fonction de son humeur et de son état mental très détérioré ces derniers mois.
Ceux qui parlent de certains leaders du mouvement ‘Liberté et Changement’, les critiquant pour détenir des passeports américains, britanniques et canadiens, restent silencieux sur al-Burhan fabriqué. De même, ils sont restés silencieux auparavant sur leurs aînés détenant des passeports américains, britanniques, canadiens, allemands, et autres. Beaucoup d’entre eux sont suffisamment nombreux pour ne pas permettre leur mention, et nous ne sommes pas là pour ça.
En ce qui concerne cet individu fabriqué qui a choisi de s’éloigner de la ville d’Istanbul, le bastion de Banu Köz, dans le sultanat ottoman de Recep Tayyip Erdoğan, et a opté pour la capitale Ankara pour devenir un Turc d’Ankara exceptionnel. Ses enfants étudient dans les meilleures universités de la capitale, tandis qu’il a inscrit sa fille dans l’école secondaire du champion international.
Cet homme corrompu, obscène et meurtrier a pris en otage l’ensemble du peuple soudanais pour ses ambitions personnelles de devenir président du Soudan. Il a détruit les rêves de toute la nation pour la liberté et une vie digne afin de réaliser le rêve de son père de diriger le pays sur leurs cadavres. Il a même emmené sa famille en lieu sûr pour réaliser des rêves qui ne se réaliseront jamais, dans un précédent sans précédent et immoral surpassant son prédécesseur destitué.
Ceux qui sont proches d’al-Burhan savent à quel point il est plongé jusqu’aux oreilles dans la corruption. Il est un échantillon de l’humanité qui n’hésite pas à commettre des atrocités et des horreurs pour voler du sésame, de la viande, de la gomme arabique, de l’or et d’autres minéraux et les faire passer en contrebande vers certains pays via des sociétés militaires sous la supervision de Mergani Idris, le chef de la pointe de la corruption militaire alliée au club politique des Kizan.
La corruption d’al-Burhan n’a pas besoin de preuves, mais un fait en entraîne un autre. Par conséquent, nous nous demandons, d’où l’homme a-t-il obtenu 3 millions de dollars ? Quel est son salaire mensuel et quelle est la valeur de ses dépenses mensuelles ? Son salaire lui permet-il d’économiser cette somme ? Est-il raisonnable que son salaire lui permette d’acheter un palais et un passeport turc ?
Le pire et le plus échoué des leaders militaires à travers le Soudan depuis que Dieu l’a placé sur la carte de la terre est ce Turc al-Burhan d’Ankara, le chef des tueurs et des figures corrompues dans ce pays. Il tue les fils du Soudan et les siens en toute sécurité, verse le sang et injecte le sang de sa famille. Il prive les enfants du Soudan d’éducation et permet à ses propres enfants les meilleures universités et écoles. C’est un homme sans conscience, religion, ou morale, faible, hésitant, trompeur et corrompu.
Il semble que le plus corrompu a abandonné son rêve de diriger le pays sous l’impact des défaites militaires subies par les Forces de Soutien Rapide, se tournant vers la réalisation du rêve de son grand-père en appelant à la règle turque/égyptienne. Quiconque examine bien le visage d’al-Burhan verra ce spermatozoïde ottoman pourri témoignant de ce que je dis.