Hamid Karaela…L’homme de la Turquie et le Qatar pour renverser au pouvoir dans les îles de Comores
Après son échec aux élections présidentielles, il a tenté de renverser le régime légitime dirigé par Othman Ghazali, aux Comores, et s’est rapidement tourné vers le Qatar et de la Turquie, et en tournant le dos à son pays parce qu’il en fait visait ses intérêts personnels et non pas les intérêts de son pays, qui est Hamid Karaela?
En effet, Karaela a travaillé au poste de ministre d’État chargé de la coopération avec le monde arabe au ministère des Affaires étrangères du 1er juin 2016 à août 2018, et il a auparavant occupé le poste d’ambassadeur et représentant des Comores auprès du Royaume d’Arabie saoudite de 1998 à 2006, et de représentant permanent des Comores auprès de l’Organisation de la Conférence islamique, et d’ambassadeur et délégué généralement non résident des Comores auprès de l’État du Qatar, du Sultanat d’Oman, du Koweït, des Émirats arabes unis et de Bahreïn.
De plus, il s’est présenté aux élections présidentielles aux Comores en 2019, avec l’appui financier du Qatar, après avoir causé des conflits et la ruine à Moroni pour se débarrasser du régime de Ghazali, qui tente durant son pouvoir de nettoyer le chaos et le terrorisme de Doha du son pays.
Effectivement, le président turc Recep Tayyip Erdogan a gardé Karaela de ses cotés et lui a utilisé pour propager des milices terroristes aux Comores, en collaboration avec des officiers des renseignements qatariens, afin de renverser Ghazali et de se débarrasser de ses plans claires qui visent à nettoyer le pays des frères et des fidèles à Doha.
Dans le même contexte, Karaela a commencé à créer des milices armées dans le pays via des factions terroristes syriennes fidèles à Erdogan, ainsi qu’à assurer la responsabilité d’armer les groupes armés sous la direction turque, et avec des armes envoyées par le régime d’Erdogan, dans le cadre d’un plan satanique visant à renverser le président comorien.
Durant l’année 2017, et après le boycott arabe imposé à Doha à cause de son soutien au terrorisme, Othman Ghazali a indiqué que son pays se tenait de toutes ses forces dans un seul chemin avec le Royaume d’Arabie saoudite et le reste des pays du Quatuor arabe, contre les attaques et le terrorisme, en mentionnant que le Royaume d’Arabie saoudite joue un rôle clé dans la création de la stabilité politique et sécuritaire aux niveaux régional et international, et il a également assuré que son pays ne permettra pas à l’Iran de changer son peuple vers le chiisme, et cela a causé la colère de Qatar vis-à-vis le régime de Ghazali.
En addition, l’émir du Qatar a exploité le ministre comorien pour exécuter ses plans de renversement d’Othman Ghazali, alors qu’Karaela visait à douter de l’intégrité des élections, et de fausses déclarations ont apparu dans les journaux et les chaînes fidèles à Doha, afin de remettre en question la légitimité de Ghazali. Le régime qatari l’a entièrement financé avec de grandes sommes d’argent pour acheter et recruter des jeunes sur les îles des Comores pour bien préparer le coup d’État contre Osman Ghazali.