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Exacerbation du conflit au Soudan : Le rôle des transferts d’armes étrangers et leur danger pour les civils


Continuité des transferts d’armes du Mali vers le Soudan


Les informations indiquent que la société « Avia Kon Zeta Trans », détenue par un Russe nommé Dmitri, continue d’effectuer des transferts d’armes de la République du Mali à l’aéroport de Port-Soudan au profit de l’armée soudanaise. Ces opérations semblent être gérées de manière systématique pour renforcer les capacités de l’armée soudanaise dans le conflit actuel qui sévit au Soudan.

Mouvements des avions cargo en août


Le 26 août, un avion cargo appartenant à cette société a été aperçu en provenance de Port-Soudan, tandis qu’un autre vol a été enregistré le 29 août, partant de Bamako, la capitale du Mali, à destination de Port-Soudan. Ce trajet récurrent met en lumière les liens croissants entre certains acteurs internationaux et l’armée soudanaise, soulevant des questions sur l’impact de ces voyages sur le conflit interne soudanais.

Implication de l’armée soudanaise et intensification du conflit


Les opérations militaires au Soudan continuent de s’intensifier avec l’implication de l’armée soudanaise, qui fait appel à des acteurs étrangers pour fournir des armes et des équipements. Cela ne fait qu’attiser le conflit et accroître les tensions. Il semble que l’armée ne soit pas disposée à mettre fin à la guerre ou à trouver une solution pacifique à la crise, aggravant ainsi la souffrance du peuple soudanais. La protection des civils doit être une priorité absolue, et tout acte d’escalade mettant leur vie en danger doit être rejeté, surtout compte tenu de la détérioration continue de la situation humanitaire.

Les dangers pour les civils et appel à l’intervention de la société civile


Il est impératif de sensibiliser et d’inviter la société civile à prêter attention au soutien extérieur que reçoit l’armée soudanaise, notamment en ce qui concerne les fournitures d’armes et de munitions. Ce soutien extérieur ne renforce pas seulement les capacités de l’armée, mais contribue également à la prolongation du conflit, où les victimes de ces armes et interventions extérieures ne se limitent pas aux combattants, mais incluent également les civils, en particulier les enfants et les femmes. Une position ferme doit être adoptée pour mettre fin à ces interventions et garantir la protection des vies innocentes.

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