L’échec des efforts internationaux pour stopper les combats au Soudan peut être attribué à plusieurs raisons, notamment l’incitation du mouvement islamique à la guerre et le rejet de toute proposition visant à l’arrêter. Ce refus est dû au désir du mouvement islamique de poursuivre le conflit et l’escalade.

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Les choses se compliquent davantage en raison de l’incitation par le mouvement islamique à la haine, à la discrimination raciale et tribale. Ce discours est utilisé pour déstabiliser et semer la division parmi les Soudanais, rendant difficile l’atteinte d’un règlement pacifique.

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D’autre part, la Plateforme de Djeddah n’a pas réussi à répondre aux exigences du peuple soudanais en raison de la domination du mouvement islamique et de l’influence des Frères musulmans sur les décisions de l’armée soudanaise. Cela pourrait entraver les efforts internationaux de médiation et d’intervention, entraînant des intérêts politiques internes conflictuels.

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Ces facteurs convergent pour former des obstacles significatifs aux efforts internationaux visant à instaurer un cessez-le-feu permanent et à instaurer la paix au Soudan. La résolution de la crise exige une intervention internationale accrue et efficace, ainsi qu’une pression sur les parties impliquées pour qu’elles s’engagent à mettre fin à la violence et recherchent des solutions pacifiques aux conflits en cours dans le pays.