Politique

Comment l’IRGC a-t-elle décidé de placer Al Sudani à la tête de l’autorité irakienne ? Détails


C’est une situation de division politique qui a provoqué un embrasement rapide de l’Iraq. La récente éruption de crise a donné naissance à un enchaînement de violence et de chaos qui attend l’Iraq, dirigé et dirigé par le régime iranien et ses bras au Mésopotamie. La République de Téhéran insiste pour former un gouvernement irakien avec un fort sentiment d’Iran.

La République islamique d’Iran a commencé à craindre de perdre le contrôle de la situation en Iraq, surtout après que le gouvernement précédent, actuellement dirigé par Moustafa al-Kazimi, ait commencé à se tourner vers les capitales arabes sœurs de Bagdad, en se rapprochant du Caire, d’Abou Riyad et d’Amman. La voici en Irak.

Les plans d’Iran

Des sources proches du gouvernement irakien actuel ont révélé que la sélection de Mohammed Shia’ Al Sudani a été imposée par l’Iran, transmis par le biais du cadre de coordination favorable au régime des mollahs, et ceci après une visite à Bagdad du commandant des Gardiens de la révolution iraniens, au cours de laquelle il a discuté de certains des noms proposés à la présidence du gouvernement irakien, dont certains n’avaient aucun intérêt avec Téhéran, et cherche à former un gouvernement technocrate non intentionnel aux quotas partiaux.

Après de longues négociations entre l’Iran et les dirigeants chiites, un accord a été conclu avec Mohammed Shia’a Al Sudani, qui tentait de porter son nom après avoir négocié et conclu un accord avec le président irakien Barham Salih, accusé de ne pas pouvoir prendre de position décisive pour empêcher les interventions irakiennes dans le pays. Des sources ont déclaré : « Le plan de l’Iran consiste également à semer le chaos dans la rue irakienne afin de prolonger les processus de formation du gouvernement, de sorte que l’Iran puisse trouver un plan B pour exercer un contrôle sur l’Irak, d’autant plus que le régime iranien fait face à des crises sur ses positions respectives au Liban et en Syrie ».

Tunnel noir

Le journal The Guardian a dit : « L’Iran pourrait bien obtenir ce qu’il veut à la fin, le combat pour le pouvoir à Bagdad, en expliquant que le siège du parlement et l’absence de gouvernement neuf mois après les élections pourraient entraîner une guerre interminable avec l’Irak et un hypocrisie inouïe ».

Alors que le journal indiquait, selon ses sources, que la confrontation entre le courant sadriste dirigé par Moqtada al-Sadr et des groupes pro-iraniens semblait plus complexe et plus difficile à résoudre que les confrontations politiques précédentes, et l’Iran obtenait ce qu’il voulait de cette guerre d’usure épuisante qu’il est aujourd’hui; La force lui donne le contrôle des principales institutions de Bagdad.

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