Une atmosphère de panique et d’inquiétude règne au sein des milices terroristes houthis… Elles prennent des mesures de précaution

Les dirigeants des milices terroristes houthis sont en proie à la panique et à l’inquiétude, craignant d’être ciblés par des frappes américaines visant leurs camps et leurs domiciles à Sanaa ainsi que dans les zones sous leur contrôle.

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Des sources citées par le site (Al-Muntasaf Net) indiquent que de nombreux chefs houthis ont changé de lieu de résidence et évitent d’utiliser leurs dispositifs de communication, anticipant de nouvelles frappes.

Selon ces mêmes sources, plusieurs dirigeants houthis ont disparu de la scène publique à Sanaa, surtout après l’annonce de la mort de hauts responsables de la milice, notamment le chef de la sécurité personnelle du leader houthi, Abd al-Rub Jarfan, ainsi que d’autres cadres importants du renseignement politique dans plusieurs villes comme Sanaa, Al-Bayda, Dhamar et Saada. Cependant, la milice garde encore secrète l’identité des responsables éliminés.

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Mesures de précaution renforcées

Dans ce contexte, des sources bien informées révèlent que les milices houthis, sous l’influence iranienne, ont mis en place des mesures de sécurité strictes, notamment en transférant leurs dirigeants vers des lieux hautement sécurisés et en changeant fréquemment leur localisation pour éviter d’être ciblés.

Ces sources rapportent également que des ordres de haut niveau ont été donnés aux chefs militaires houthis d’évacuer rapidement leurs résidences et abris secrets dans plusieurs gouvernorats après les frappes qui ont visé leurs centres de commandement et de contrôle à Sanaa et Saada.

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Les instructions concernent notamment le relogement des chefs houthis en dehors de leurs quartiers habituels, notamment Al-Jiraf Al-Gharbi et Hamdan, situés au nord-ouest de Sanaa, ainsi que dans des zones montagneuses dominant la rue Al-Thalathin à l’ouest et les régions septentrionales du gouvernorat.

D’après ces mêmes sources, ces ordres s’accompagnent d’une intensification des contrôles internes et d’une interdiction stricte de toute communication entre les dirigeants, même pour vérifier leur sécurité.

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Des sources locales indiquent également que les houthis ont vidé leurs entrepôts de missiles, transférant ces armes vers des caches souterraines pour prévenir toute frappe. Par ailleurs, des équipements militaires lourds ont été déployés vers les fronts de la côte ouest, témoignant de la tension croissante au sein de la milice face à une possible intensification militaire américaine.

Ces développements font suite à une série de frappes américaines ciblant des responsables houthis cachés et des dépôts d’armes de la milice dans plusieurs gouvernorats occupés du Yémen.

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