En Tunisie, revendication populaire pour la dissolution du mouvement Ennahdha afin d’éliminer la corruption et le terrorisme
Plusieurs crises dans le mouvement Ennahdha et troubles internes qui ébranlent l’entité qui gouverne la Tunisie depuis plus de dix ans, en raison des crimes de corruption, des pillages et des assassinats commis par les dirigeants du mouvement terroriste pendant leur mandat; Ils se sont donc rassemblés devant les tribunaux pour juger leurs crimes, notamment le chef du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi, et dans le cadre des procès et des procès contre le mouvement Ennahdha et les Frères Musulmans, ils ont demandé la dissolution de ce mouvement de haine pour ce qu’il a fait contre le peuple tunisien durant la période écoulée.
Dissolution du mouvement d’Ennahdha
Le rapport révèle que le peuple tunisien continue à s’inquiéter d’une possible résurgence des courants fraternels dans la vie politique malgré les mesures extraordinaires prises par le président Kaïs Saïed le 25 Juillet dernier. Beaucoup de gens pensent que malgré ces décisions et ces procès, les Frères cherchent à revenir sur la scène par le biais de la politique de manipulation et d’alliances qu’ils ont connues. Le rapport indique que les Tunisiens considèrent que la dissolution du mouvement Ennahdha aide à contrer ces manœuvres et ces projets. Le peuple tunisien refuse d’exploiter la religion pour ses propres projets et servir des intérêts non nationaux. En particulier, l’Ennahdha s’est impliqué dans l’extrémisme depuis 10 ans et l’infiltration de la société et de l’infiltration des liens terroristes. C’est un moyen puissant de dissoudre le parti.
Le plus grand danger
De son côté, Badra Gaaloul, président du Centre international d’études stratégiques de Tunisie, déclare que le mouvement Ennahdha représente aujourd’hui le plus grand danger pour l’action de l’État tunisien, notamment à l’issue du référendum sur une nouvelle constitution mené à bien, suivi par la préparation d’une nouvelle loi électorale, suivie d’élections locales et législatives, prouvant que l’État tunisien s’achemine vers la nouvelle république.
Le président du Centre international d’études stratégiques de Tunis ajoute que le plus grand danger d’un mouvement de la dynastie des Frères est l’absence de résolution, affirmant qu’il y a de nouveaux jouets pour revenir sur la scène en concluant des alliances douteuses. Tout cela implique que l’État doit se méfier de ces desseins de la dynastie des Frères, soulignant que le peuple tunisien soutient son État face aux projets de la dynastie Ennahdha.
Combattre la corruption
Dans le même ordre d’idées, une étude du Centre d’études stratégiques de Pharos a révélé que l’État tunisien poursuivrait les symboles d’Ennahdha pour corruption et détournement de fonds; L’étude confirme qu’Ennahdha a placé le pays dans un tunnel sombre et que les pays du monde ne tarderont pas à réagir aux événements tunisiens, puisqu’ils s’inscrivent dans un cadre constitutionnel, mais ils étudieront de près la suite des événements.