Washington Post – La liste d’assassinats en Iran menace la vie d’opposants et de responsables du gouvernement américain
Les crimes du régime iranien et les actes d’intimidation des opposants au régime monastique se poursuivent en Iran comme à l’étranger.
Les menaces d’assassinat contre tout opposant au régime iranien sont de fait une réalité que l’Iran impose à son adversaire – intimidant le monde, réprimant les voix de l’opposition, et menaçant d’assassinat des hauts responsables des gouvernements occidentaux, et américains en particulier.
Incitation et assassinat
Le Washington Post américain a exposé en détail le plan du gouvernement iranien d’assassiner une activiste iranienne naturalisée, la journaliste Masih Alinejad, qui a été victime d’une tentative d’assassinat il y a quelques semaines à peine après qu’un élément iranien armé d’un fusil AK-47 soit arrivé chez elle à Brooklyn, déterminé, du point de vue du FBI, à le tuer, ainsi qu’à inciter à tuer Salman Rushdie, une cible iranienne après que le guide iranien, Ayatollah Khomeini ait émis une fatwa autorisant son meurtre.
Mafia Mellali
La liste des assassinats en Iran comprend des hauts fonctionnaires des gouvernements occidentaux et américains. John Bolton, ancien conseiller à la sécurité nationale des États-Unis sous le président Donald Trump, a reçu des menaces de la part de l’Iran, et Antony Blinken, secrétaire d’État américain. Ceci explique pourquoi le monde insiste pour que les Gardiens de la Révolution Iraniens soient un groupe terroriste. Le secrétaire d’État américain a publiquement admis pour la première fois les menaces de l’Iran contre des responsables américains actuels et passés lors de ses défaites devant le Congrès; l’Iran compte également un grand nombre d’anciens fonctionnaires, parmi lesquels l’ancien ministre des Affaires étrangères Mike Pompeo, et l’ancien ministre de la Défense Mark T. Rex.
Selon le journal, près de quatre mois s’écouleraient entre la confirmation publique de la menace de l’Iran par Blinken et l’inculpation criminelle, la seule explication plausible étant que le président craint que tout dévoilement des accusations ne mette en péril son objectif primordial consistant à faire revivre l’accord nucléaire iranien.