Une étude révèle une surprise concernant l’Univers : « Plus petit que nous le pensions »
Une étude récente a mis en lumière de nouvelles preuves suggérant que l’univers pourrait être de plus petite taille que précédemment supposé, grâce à un modèle développé par des scientifiques qui a conduit à cette conclusion surprenante.
Publiée sur la bibliothèque électronique « arXiv.org », l’étude avance que l’univers n’est ni infini ni nettement plus grand que ses dimensions observées, qui s’étendent sur 46 milliards d’années-lumière.
Les scientifiques à l’origine de cette recherche suggèrent que l’univers possède une échelle relativement modeste, pas très éloignée de ses limites actuelles. Ils ont pris en compte divers facteurs quantitatifs et physiques qui influencent la structure de l’espace-temps et la matière, en utilisant des théories cosmologiques existantes pour calculer les caractéristiques fondamentales de l’univers. Celles-ci incluent la proportion de matière noire, d’énergie sombre et la courbure de l’espace.
Les calculs effectués dans l’étude indiquent que la température actuelle de l’espace et sa courbure plate, ainsi que certaines de ses propriétés, peuvent s’expliquer si l’univers a continué sa phase d’expansion superluminique pendant une période relativement courte.
En résumé, les scientifiques ont noté que la taille de l’univers peut être comparée aux limites observables, en soulignant que l’échelle visible s’étend sur 46 milliards d’années-lumière. Cependant, l’étude récente suggère que la taille totale dépasse cette mesure de plusieurs fois.