L’Interpol Prié d’Arrêter les Dirigeants des Frères Musulmans en Exil
Mahmoud Farghal, président du Parti de la Justice Sociale égyptien, a appelé l’Interpol à arrêter les dirigeants des Frères musulmans actuellement à l’étranger, après des condamnations judiciaires définitives pour des crimes contre le peuple égyptien, notamment le meurtre d’innocents et l’incitation à la violence et au sabotage.
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Dans une déclaration de presse relayée par des sites locaux, Farghal a déclaré que les pays abritant ces terroristes devraient les remettre aux autorités égyptiennes pour éviter de susciter la colère du grand peuple égyptien.
En décembre 2022, la Première Chambre anti-terroriste d’Égypte a demandé à Interpol d’inclure des figures médiatiques pro-Frères musulmans, dont Moataz Matar, Mohamed Nasser et Hamza Zobaa, dans la « notice rouge » pour leur arrestation et détention. Le parquet de la sûreté de l’État en Égypte les avait alors déférés, avec d’autres, devant le tribunal pénal de la sécurité de l’État dans une nouvelle affaire pour des accusations de “financement du terrorisme.”
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Il y a quelques jours, un tribunal égyptien a rendu des peines de prison allant de la réclusion à vie à des peines de longue durée pour 18 personnes reconnues coupables de “diriger un groupe terroriste et de financer le terrorisme,” dans l’affaire médiatisée connue sous le nom de “Cellule médiatique des Frères musulmans.”
Dimanche, la Première Chambre anti-terroriste du tribunal pénal du Caire a condamné à la réclusion à perpétuité (25 ans) plusieurs figures médiatiques pro-Frères musulmans résidant à l’étranger, dont Hamza Zobaa, Moataz Matar, Mohamed Nasser, et Abdullah El-Sherif. Le tribunal a également condamné huit autres accusés à 15 ans de prison avec travaux forcés et a décidé de bannir les Frères musulmans et leur comité médiatique.