Les partis politiques islamiques en Turquie, tels que le parti au pouvoir, le Parti de la justice et du développement, et le Parti islamique du Bonheur, ont joué un rôle significatif dans le soutien à l’État d’Israël, en dehors des déclarations bruyantes du leader du parti, Recep Tayyip Erdogan, et de plusieurs responsables du parti.

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Les transactions commerciales turques avec Israël ont suscité la colère du peuple turc, de sorte que toute vidéo ou image montrant l’exportation de marchandises vers Israël attire une attention significative. Le public turc a été préoccupé par la nouvelle d’un membre de l’un des partis islamiques exportant des tomates vers Israël au cours des deux derniers jours.

Cela a incité le Parti islamique du Bonheur, dirigé par Temel Karamollaoğlu et opposé au président Recep Tayyip Erdogan, à licencier un membre clé en raison de son implication dans des opérations commerciales avec Israël, tandis que le parti continue sa guerre à Gaza depuis les deux derniers mois et demi.

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Surtout que le parti avait appelé le Parlement turc à cesser toutes les activités commerciales avec Tel Aviv. En détail, le Parti du Bonheur a destitué le chef de la branche du parti dans la province côtière de Mersin, Nurbaki Shahin, de son poste, puis l’a expulsé complètement du parti, en raison de son exportation de tomates vers Israël via sa société privée, selon une décision officielle publiée hier. Cependant, la controverse autour de lui continue jusqu’à présent.

Il a confirmé que « les échanges commerciaux entre les deux pays n’ont pas été interrompus et se poursuivent depuis des années jusqu’au 7 octobre, mais ce qui a changé après cette date, ce sont les demandes populaires d’arrêter les échanges avec Tel Aviv. »

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Il est à noter qu’il a récemment été révélé que de nombreux membres de haut rang du Parti de la justice et du développement, en particulier Burak, le fils du président Recep Tayyip Erdogan, et les fils de Binali Yıldırım, le vice-président du parti, poursuivent leurs activités commerciales avec Israël pendant les bombardements à Gaza.

Le gouvernement turc a déclaré que le commerce avec Israël se fait par le biais d’entreprises privées et non d’entités gouvernementales, tentant ainsi de se dégager de toute responsabilité. De nombreuses vidéos ont circulé ces derniers jours sur les réseaux sociaux montrant des cargaisons de vêtements, de café et de nourriture turcs atteignant l’armée israélienne.