L’alliance entre les Houthis et les Frères musulmans pour allumer le chaos et le terrorisme dans le sud du Yémen

L’alliance entre les Houthis et les Frères musulmans poursuit leurs activités terroristes, propageant le chaos, les assassinats et finançant le terrorisme à Taïz et à Abyan dans le sud. Des rapports des médias yéménites ont indiqué que les Frères musulmans du Yémen sont l’autre face des Houthis et la machine à tuer la plus dangereuse pour le tissu social, notamment dans les provinces de Taïz et de Marib, contrôlées par les Frères musulmans et les Houthis.

Cibler le sud

Les milices terroristes houthistes et les Frères musulmans tentent d’occuper le sud en intensifiant leurs attaques contre son identité, en particulier à Hadramaut. Cette faction cherche à créer une opportunité pour les milices houthistes de s’infiltrer dans le sud. L’organisation des Frères musulmans continue de fournir des preuves que leur guerre est dirigée contre le sud et son peuple, tout en ne montrant aucun intérêt pour la libération de leurs terres de l’emprise des milices houthistes. Il s’agit là d’une des formes les plus claires de conspiration et de trahison.

La guerre entre les Houthis et les Frères musulmans

Selon l’activiste du sud Abdul Qadir Al-Qadi, les Frères musulmans sont plus extrémistes que les Houthis eux-mêmes, affirmant que quiconque tourne le dos aux Houthis à Marib et dirige ses armes vers Wadi Hadramaut dans le sud est sans aucun doute l’ennemi.

Il a ajouté que l’organisation des Frères musulmans est plus houthiste que les Houthis eux-mêmes, et la première région militaire dans Wadi Hadramaut et les fournitures militaires qu’elle reçoit des milices de réforme en provenance de Marib en sont un exemple clair.

Il a affirmé en outre que les milices houthistes et les Frères musulmans se préparent probablement à une guerre totale contre le sud, comme en témoignent les récentes opérations de mobilisation sur les lignes de front avec le sud. Il souligne que les milices des Frères musulmans mènent une guerre psychologique à grande échelle contre le sud, en ciblant l’identité nationale, comme on peut le voir récemment dans la province de Hadramaut.