La communauté internationale demande aux Talibans de mettre fin aux peines de flagellation, d’exécution et de lapidation
Les Talibans n’ont pas seulement suivi les pratiques radicales des années 1990. Ils vont continuer à faire de même depuis leur retour au pouvoir. Un récent rapport des Nations Unies a critiqué le mouvement pour sa mise en œuvre de la peine de mort, de la flagellation et de la lapidation publique depuis son accession au pouvoir en Afghanistan.
Selon le rapport de la Mission d’assistance des Nations Unies en Afghanistan, les Talibans ont procédé à la flagellation de 274 hommes, 58 femmes et 2 garçons en public au cours des six derniers mois, en affirmant que ces châtiments corporels constituaient une violation de la Convention contre la torture et qu’ils devaient cesser.
Sanctions continue
Les Talibans ont commencé à appliquer de telles sanctions peu après leur arrivée au pouvoir il y a près de deux ans, malgré les promesses initiales d’une gouvernance plus modérée que celle qu’ils avaient faite dans les années 1990, et les Talibans durant leur règne de 1996 à 2001 ont été condamnés; En raison de l’application de sanctions publiques, y compris la flagellation et les exécutions, dans le Stade national de Kaboul, le Gouvernement s’est engagé à ne plus traiter les personnes avec cruauté mais, depuis son accession au pouvoir, les femmes ont perdu leur liberté et ont été battues pour avoir revendiqué leurs droits.
Restrictions à l’égard des femmes
Les premières restrictions imposées aux femmes après l’interdiction de fréquenter l’école secondaire étaient l’ordre des Talibans de ne pas aller plus de 72 kilomètres sans escorte d’un membre masculin de la famille.
En mars 2022, le gouvernement taliban annonce la réouverture des écoles secondaires pour filles, mais celles-ci sont fermées quelques heures plus tard, deux mois plus tard, un décret exige que les femmes portent des vêtements couvrant la tête et les pieds, y compris le visage. Les filles sont empêchées de choisir des disciplines telles que l’économie, l’ingénierie et la presse universitaire, et une décision choquante est prise, les universités étant fermées aux étudiantes, et les femmes sont interdites de travailler dans les organisations non gouvernementales locales et internationales, sauf celles qui travaillent dans le secteur de la santé.
Position internationale
Selon Ibrahim Rabi, analyste des groupes terroristes, les Talibans continuent de violer le peuple afghan dans le cadre de leurs politiques passées, et ils vont de la torture et des mauvais traitements à des arrestations et détentions arbitraires, en passant par les droits des femmes et des filles en Afghanistan.
Il faut adopter une position internationale ferme et ferme contre ce mouvement pour lutter contre les crimes terroristes qui violent les libertés du peuple afghan, et le silence qui entoure ces crimes permet une fois de plus aux groupes terroristes de répandre leurs idées injustes qui visent la sécurité de la région.