Farmaajo entrave le processus électoral
Après le repot des élections qui doivent etre lieu en février 2021, dans une tentative de rester au pouvoir, tout en refusant l’alternance pacifique de l’opération démocratique, le président Abdallah Farmaajo a entré le pays dans des conflits internes.
En effet, la décision de Farmaajo de reporter les élections est une violation de l’accord du 17 septembre, qui a été conclu par lui et les dirigents de cinq provinces du pays, et par la suite approuvé par le Parlement somalien, et constituaient 15 articles qui sont relatifs au transfert du pouvoir et à l’organisation d’élections.
De plus, il a ainsi été décidé que les élections vont se tenir en février 2021, d’après le système tribal connu dans le pays et non pas par vote direct des citoyens, vu la situation politique, économique, sociale et sécuritaire du pays.
Il faut également indiquer que l’Union des candidats à la présidence de la Somalie a envoyé une lettre au Conseil de sécurité de l’Onu afin d’intervenir pour trouver une solution à la crise électorale après que Farmaajo n’a pas respecté ses engagements, ainsi que de faire pression sur le président pour le prévenir d’entraver l’opération électoral.
De sa par, Farmaajo essaie de prendre le soutien des chefs des provinces proches de lui dans le but de rester au pouvoir, tout en cibalnt ses opposants, tandis que le fait qu’il a entravé le processus électoral peut avoir des conséquences sur le pays d’une manière général et sur l’opération politique notamment, tout en entrainant le disordre qui va compliquer les problèmes de sécurité.
Puisque les conflits politiques aliementent le terrorisme, les efforts présents de Farmaajo pour rester au pouvoir pourraient augmenter les crises du pays et intensifier l’influence des groupes terroristes dans le pays.