Détérioration des conditions de vie au Yémen: Les Yéménites souffrent du feu du terrorisme houthi
Depuis 2014, le Yémen souffre d’une détérioration de la situation dans tous les secteurs de la vie et de l’occupation de la capitale Sanaa par les forces terroristes houthistes. Le peuple yéménite est victime de guerres et d’abus de confiance.
La guerre a fait du Yémen un pays inéluctable, d’autant plus que la situation n’est pas conforme à l’armistice revendiqué par les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite, les Nations unies et le gouvernement légitime du Yémen, et rejeté par les terroristes Houthis.
Détérioration de la situation économique
La détérioration de la situation économique au Yémen, notamment la hausse des prix des produits de base tels que les combustibles et les denrées alimentaires, et la forte baisse du rial yéménite ont aggravé les conditions de vie de la population et l’accès aux soins de santé.
La hausse des prix des combustibles limite la capacité des personnes de voyager, car elles ne peuvent pas payer les frais de transport et sont donc pénalisées par l’accès aux soins de santé.
Dans les zones contrôlées par les Houthis, le nombre d’enfants souffrant de malnutrition a doublé, par exemple le nombre d’admissions au centre d’alimentation thérapeutique intensive de Médecins sans frontières à l’hôpital Khamar, dans la province d’Amran, et il y a actuellement de graves pénuries alimentaires au Yémen, et rien ne permet de penser que des groupes entiers de la population seraient exposés à la famine de masse.
Les milices terroristes Houthis continuent d’être la cible d’attaques armées sur les fronts de la côte ouest et utilisent diverses armes pour attaquer les positions des forces et des biens civils yéménites dans les villes de Hays et de Al Jarrahi.
Renforcement de ses capacités militaires
L’activiste politique yéménite Waddah Attia a déclaré que « le groupe Houthi a utilisé tous les moyens pour renforcer ses capacités militaires au même titre que les Gardiens de la Révolution de l’Iran », ce qui confirme la présence d’experts iraniens qui dirigent les institutions de l’État à Sanaa, y compris le recrutement et l’envoi d’enfants sur les fronts après qu’ils aient été mobilisés par des superstitions. Il existe des preuves de gangs dans les instituts et les écoles qui distribuent des céréales et des drogues qui conduisent à un enfant à être subordonné à ces personnes sans aucune conscience ou pensée.
Comme les organisations terroristes Daesh et Al Qaïda, Houthi recourt au recrutement d’enfants et d’adolescents parce qu’il a du mal à recruter et à convaincre des adultes. C’est pourquoi huit années de contrôle par les Houthis sur le potentiel et les institutions de l’État lui ont permis de recruter des milliers, voire des dizaines de milliers d’enfants, et chaque année, un nouvel élan se dessine dans le cerveau.
