Comment les trous noirs sont-ils passés de la production d’étoiles à leur extinction ?
Les astronomes ont réalisé une découverte révolutionnaire en utilisant le télescope spatial James Webb, en identifiant des galaxies primitives dans l’univers caractérisées par de petits points rouges, pouvant contenir d’énormes trous noirs.
Les résultats, publiés dans le journal « The Astrophysical Journal Letters », défient les théories traditionnelles de la formation des galaxies, suggérant que les trous noirs se sont formés aux côtés des premières étoiles et ont influencé l’évolution de la galaxie.
Cette découverte semble contredire le récit traditionnel selon lequel les galaxies se forment graduellement, les trous noirs précédant les étoiles.
Le Centre international d’astronomie des Émirats arabes unis a déclaré que l’observation du croissant lunaire du mois de Chaabane le samedi 10 février serait possible à l’aide d’un télescope depuis l’Australie, le centre et le sud de l’Asie, ainsi que le sud de l’Europe.
Il a confirmé que l’observation serait possible à l’œil nu avec difficulté dans la plupart du continent africain, tandis qu’elle serait relativement facile à l’œil nu dans la plupart des continents américains.
L’ingénieur Mohammed Choukat Ouda, directeur du centre, explique que « par conséquent, le début du mois de Chaabane est prévu pour le dimanche 11 février dans la plupart des pays du monde islamique, et pour le lundi 12 février dans les pays orientaux qui exigent une observation à l’œil nu, comme l’Inde, le Bangladesh et le Pakistan ».
La recherche suggère une interaction plus étroite entre la formation des étoiles et des trous noirs, où chacun favorise initialement la croissance de l’autre par des rétroactions positives, puis les trous noirs empêchent ultérieurement la formation d’étoiles par des rétroactions négatives. Cette transition des rétroactions positives aux rétroactions négatives a eu lieu il y a environ 13 milliards d’années, soit environ un milliard d’années après le Big Bang.
Les chercheurs affirment que les simulations informatiques et les observations supplémentaires, notamment avec le télescope spatial James Webb, aideront à valider et à améliorer cette nouvelle compréhension de la formation précoce et de l’évolution des galaxies.
