Une étude récente a montré que des augmentations modérées de la pression artérielle et des taux de cholestérol ont un impact plus important sur le développement de la rigidité artérielle.

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L’impact est plus significatif chez les individus âgés de 40 ans par rapport à ceux qui ont dépassé l’âge de 48 ans.

Rigidité artérielle : causes et symptômes. L’étude a indiqué qu’une intervention précoce pour traiter les facteurs de risque pourrait contribuer à ralentir le développement de la rigidité artérielle, voire à stopper sa progression. Les résultats ont été publiés sur le site New Atlas.

Malgré les progrès en médecine, les maladies cardiaques et vasculaires associées à la rigidité artérielle restent la principale cause de décès.

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Comme la rigidité artérielle commence souvent tôt dans la vie et se développe sans symptômes clairs, la détection précoce de la maladie est cruciale pour initier des mesures préventives à temps afin de retarder sa progression.

Des scientifiques du Centre national espagnol de recherche cardiovasculaire (CNIC) ont mené une étude pour identifier les facteurs affectant la rigidité artérielle chez les individus d’âge moyen sans symptômes clairs. L’étude comprenait 3 471 participants âgés de 40 à 55 ans.

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Les résultats ont révélé que des augmentations modérées de la pression artérielle et du cholestérol ont un impact plus important sur le développement de la rigidité artérielle chez les jeunes.

Les chercheurs suggèrent qu’une intervention précoce dans le traitement des facteurs de risque peut contribuer à prévenir les maladies cardiaques et vasculaires et à ralentir la progression de la rigidité artérielle.