Grand Maghreb

Le président tunisien : La lutte contre la corruption se poursuivra sans complaisance


Le président tunisien Kaïs Saïed, a déclare, samedi : « Nous ne voulons pas perdre notre souveraineté en mourant, en vivant la patrie, et nous voudrons le peuple ».

Le président tunisien, en marge de sa visite au siège du journal « La Presse de Tunisie », souligne que « nous n’avons pas peur des campagnes frénétiques qui rejettent chaque régime national », ajoutant: « Nous n’avons peur que de Dieu et du mot vérité, que je ne répéterai pas et que notre objectif est la réforme ».

« La guerre contre la corruption se poursuivra sans relâche », déclara Kaïs Saïed. « Qui bloquera cette voie pour lutter contre les essaims de criquets qui se répandent dans le monde entier et qui sont parmi les corrompus » 

Le Président tunisien a alors déclaré que « notre pays parviendra à réaliser la volonté du peuple, et que la nouvelle Assemblée qui rédigera les lois sera de la volonté du peuple, et que tous les torts seront tenus pour responsables ». Le Conseil des régions et des régions, qui doit être institué par voie d’élections, a pour mission de réaliser l’intégration des Tunisiens.

Il a affirmé: « Les marginaux sont représentés au Conseil des régions et des régions et seront décisionnaires ».

Le Président tunisien Kaïs Saïed avait déjà déclaré que la Tunisie était en train de mener une guerre de libération nationale contre la corruption.

La première séance du nouveau Parlement commencera lundi prochain, marquant la fin de la période des Frères musulmans.

Le président tunisien a continué en disant : « Nous n’accepterons pas la partition de l’Établissement de la Presse parce qu’elle fait partie de l’histoire de la Tunisie », ajoutant que « les difficultés financières de l’Établissement sont dues à des fautes commises depuis de nombreuses années », comme il l’a dit.

Il poursuit: « Abandonnez le siège social de la fondation d’une valeur de 350 000 dinars », ce qui équivaut à 100 000 dollars par an, et se demandent alors où l’argent est allé ».

L’Institut de la presse de Tunisie connaît des difficultés financières et ses journalistes et ses employés ont organisé des manifestations de protestation pour réclamer leurs droits financiers.

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