Yémen – Les rebelles Houthis continuent leurs offensives contre le système de santé
Les milices des Houthis ont continué à commettre des crimes contre le peuple yéménite, en ciblant le système de santé, dans une tentative pour prolonger la guerre et faire payer aux citoyens des prix élevés.
Les observateurs considèrent que les tentatives de la milice des Houthis visant à affaiblir l’infrastructure du gouvernement yéménite et à alourdir la charge financière de la population.
Les plans des Houthis
Les rebelles Houthis avaient abattu le système de santé pour prolonger la guerre et détruire les institutions de l’État.
Les Houthis punissent le peuple pour avoir refusé d’accepter l’augmentation du coût de la vie et ne pas même pouvoir payer les coûts de leur traitement, qui est le droit humain le plus fondamental de tous.
La guerre a détruit le système de santé. Au début de la guerre, les milices des Houthis ont volé toutes les ressources et les équipements hospitaliers et financé une grande partie des centres médicaux comme centres de traitement pour leurs combattants.
Les milices ont laissé des millions de personnes sans traitement; cela a entraîné une détérioration du secteur de la santé et un effondrement des services médicaux.
Les milices soutenues par l’Iran ont volé les salaires des employés et du personnel médical.
Colère Populaire
Les médecins sont très en colère à cause des pratiques des Houthis et sont prêts à faire une pause de protestation pour dénoncer les frappes de secours et la destruction du secteur de la santé.
La dirigeant pro-Houthi, Abdul Malik Jehaf, a transféré la propriété des hôpitaux aux milices et a confisqué les droits et salaires des travailleurs et des médecins.
Selon les organisations internationales, les opérations de secours arrivent à un moment où les milices ont été averties de la détérioration des conditions sanitaires.
Les organisations internationales ont souligné que la milice des Houthis avait provoqué sa guerre et le chaos qui l’avait amenée à manquer cruellement d’eau et de soins; ce qui menace d’exacerber la crise humanitaire déjà présente.
