Un article publié par le site yéménite « Al-Mashhad Al-Arabi » révèle que le terrorisme dirigé contre le sud est mené par Al-Qaïda en coordination avec les milices houthis, sous la protection de l’organisation terroriste des Frères musulmans, visant à mettre le sud sous pression.

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L’article considère que le moment de l’aggravation du terrorisme contre le sud est lié aux tentatives précédentes, après les récentes mesures prises, notamment les décisions de la Banque centrale qui ont renforcé la présence d’Aden sur les plans politique et économique.

La pression militaire sur le sud vise à saper sa puissance politique, pour faire passer des tentatives visant à entraver les décisions qui ont été prises, liées spécifiquement à la démantèlement des réseaux de financement des milices houthis.

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La pression sur le sud s’est manifestée par une tentative onusienne de négociation sur les décisions de la Banque centrale, un processus dans lequel certaines parties ont tenté de passer, d’une manière ou d’une autre, par un chemin qui porte atteinte à la souveraineté du sud et à sa capitale éternelle, Aden.

Cette simultanéité signifie clairement que la guerre menée par les forces terroristes contre le sud est une guerre contre la souveraineté nationale et vise à rendre le sud subordonné aux forces d’occupation, selon l’article.

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La réponse du sud a été claire dès le début, comme l’a exprimé le Conseil de transition en réaffirmant constamment que la souveraineté du sud et la présence de la capitale Aden ne peuvent être compromises, ce qui signifie qu’il ne sera pas acceptable de poursuivre des mesures qui entraveraient la capacité du sud à protéger sa sécurité et sa stabilité.

Les Houthis et les Frères musulmans du Yémen ont rendu public le processus de communication en cours entre eux depuis des mois, dont diverses sources ont parlé comme étant une des préparations pour passer d’un état de confrontation à une détente, voire peut-être une réconciliation et une coopération entre les deux parties dans la phase post-guerre au Yémen, que des parties régionales et internationales tentent de clore pacifiquement.