Grand Maghreb

Un tourbillon de terrorisme et de vengeance… 42 ans depuis la fondation du mouvement Ennahdha en Tunisie


42 ans de terrorisme, une entité qui manipule un État entier et ne voit que ses intérêts personnels, de la propagation du terrorisme et des idées extrémistes à la tentative de déstabiliser l’État tunisien.

Il y a 42 ans, en Tunisie, le mouvement Ennahdha a été créé, la branche politique des Frères terroristes, et, depuis le début du mouvement, des effusions de sang se sont produites dans les rues, semant le sang à la suite d’assassinats politiques.

Il y a 42 ans, un groupe terroriste en Tunisie a construit les murs de l’obscurité, à la recherche d’un chaos qui crée des échappatoires pour la stabilité et la gouvernance du pays.

Sous la présidence de Habib Bourguiba, les Frères remplissaient les prisons, reprirent le combat sous le successeur de Zine el-Abidine Ben Ali, avant de repasser sur le devant des manifestations populaires, qu’ils montaient sous des étiquettes fallacieuses pour le pouvoir et les postes.

Récemment, sous la présidence de l’actuel président, les Frères musulmans sont aussi emprisonnés pour la première fois dans une décennie noire de gouvernement.

Le passé de la plupart des dirigeants des Frères de Tunisie est lié au terrorisme, aux meurtres et aux effusions de sang; Le chef historique des frères de Tunisie, Farachid Ghannouchi, est responsable aujourd’hui des crimes commis à l’encontre du peuple tunisien avec son groupe d’éminents dirigeants du groupe Tanzim, dont Noureddine Bhiri, Ali Laârayedh, Habib Ellouze, Sadok Chourou, Sahbi Atigue et Seyyed Ferjani.

Aujourd’hui, une vingtaine de dirigeants des Frères sont poursuivis pour plusieurs crimes, notamment des assassinats politiques, des affaires de terrorisme, des atteintes à la sûreté de l’État et des affaires de corruption financière.

Le chef du mouvement a été emprisonné avec un certain nombre de ses fondateurs et son siège a été fermé. L’équilibre des pouvoirs s’est renversé et les dirigeants sont retournés dans les prisons après que leurs portes leur ont été rouvertes. Rached Ghanoushi a recommandé à Mondher Al-Wanisi lui succède à la tête du mouvement, qui est son neveu.

La journaliste tunisienne Saad Mohammed a déclaré : « Les frères ont acheté la nourriture en utilisant l’argent de la corruption pour réussir dans leur plan de désengagement de l’État et des institutions ».

Elle a ajouté: « Les contacts et le rapprochement avec des personnalités étrangères pour cibler l’État et lui couper l’accès au crédit, en plus du rôle joué par les Masmoudi, soi-disant irréductibles, confirment et facilitent la révélation d’un dossier de conspiration qu’ils prétendent être « illégal ». Ce dossier, qui a été ouvert en Tunisie et transmis à ceux qui lui avaient transmis des obligations scandaleuses, est un coup d’État et un coup d’État insensé pour l’ordre public, en utilisant d’autres personnes avec lesquelles elle s’est alliée pour attaquer au processus de réconciliation mené par le président Kaïs Saïed.

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