Un nouveau massacre de Houthis par des drones dans l’Ouest du Yémen – Les milices tuent des enfants
Les milices terroristes des Houthis continuent de violer la trêve actuelle au Yémen par les pires moyens, tuant par les moyens les plus horribles un certain nombre de personnes et en perpétrant de nouveaux massacres ignobles, faisant obstacle aux tentatives de paix, avec l’appui de leurs alliés, menaçant ainsi l’effondrement de la trêve internationale.
Au cours de ces derniers crimes odieux, les milices ont perpétré un massacre terrible dans l’Ouest du Yémen; un enfant a été tué et sept enfants, dont deux femmes, ont été blessés lors d’une nouvelle attaque aérienne par les milices; les Houthis ont bombardé par des drones la ville résidente de « Rouan », au Nord de la direction de Hays, au Sud de la province d’Al-Hudaydah.
Ce crime a entraîné un massacre de civils sans défense, ce qui a entraîné une nouvelle escalade contre une paix fragile.
Dans leur déclaration, les Forces combinées ont confirmé qu’au moins un enfant avait été tué et sept autres blessés, des femmes et des enfants avaient été directement pris pour cible par un avion de la milice des Houthis qui se dirigeait vers la ville habitée.
Les victimes étaient toutes de la même famille, et l’enfant, Ayman Abd Ahmed Abakar, avait mourut avant l’arrivée des équipes médicales des Forces combinées qui étaient venues secourir les victimes, citant les cinq femmes et enfants blessés à l’hôpital de campagne de la ville de Mocha, sur la mer Rouge, pour dénoncer le massacre qui était un massacre flagrant et un meurtre de la trêve internationale.
Il a expliqué que le bombardement avait tué un enfant, Ayman Abd Ahmed Abakar (7 ans), blessé sept membres de sa famille et blessé les personnes suivantes : Rawa Ahmed Abd Abakar, Ramadan Abd Ahmed Abakar, Zahra Ahmed Abakar, Hossam Ahmed Ali Abakar, Farah Mohamed Ahmed Abakar, Saad Ali Ahmed Abakar et Da’at Abdulla Daoud Abakar.
La déclaration a indiqué qu’une équipe médicale des forces combinées s’était rendue dans le village visé et avait transporté les blessés à l’hôpital de campagne de la ville de Mocha.
Pour sa part, le Gouvernement yéménite a demandé à l’ONU et à la communauté internationale d’obliger les milices des Houthis et leurs partisans à mettre en œuvre sans délai les clauses de la trêve internationale en vigueur, ou de les condamner explicitement, lors d’une réunion du Conseil des ministres yéménite dans la capitale provisoire d’Aden, qui s’est tenue devant les violations persistantes de la trêve par les milices des Houthis sur un certain nombre de fronts, et de les mettre hors d’application de leurs engagements, en signe de refus des milices des Houthis d’accepter une proposition internationale visant à ouvrir les routes à Ta’izz.
Le Gouvernement a estimé que le rejet de la proposition par les Houthis après des semaines de négociations s’inscrivait dans le contexte de ce qu’il a qualifié de politique de gain de temps par la milice et de sa mobilisation constante des fronts en vue de l’utilisation de la trêve, selon l’agence de presse officielle yéménite, considérant que ce comportement était inacceptable et serait combattu de toutes les manières.
Ce massacre de civils, dans la zone de Hayes, fait partie d’une série de violations de la trêve humanitaire sous l’égide de l’ONU, qui, selon le Gouvernement yéménite, ont été prolongées de deux mois le 2 Juin, et qui sont utilisées par les milices des houthis pour renforcer leurs forces et prendre pour cible des quartiers et des villages habités.
Au cours des deux derniers jours, les milices des Houthis ont commis 72 violations de la trêve sur les fronts de la côte ouest, dont 48 dans l’axe Hays au sud d’al-Hudaydah et 24 dans l’axe al-Barah à l’ouest de Ta’izz.
