Moyen-Orient

Un militant des droits de l’homme yéménite : La milice des Houthis a choisi d’allumer la guerre dans le pays


La milice terroriste Houthi continue de commettre des crimes contre les citoyens dans plusieurs régions du Yémen, tandis que la rue politique locale et les milieux de l’ONU et de la communauté internationale espèrent persévérer dans le calme au Yémen, dans l’espoir que le groupe approuvera une feuille de route pour une paix durable.

Antagonisme de recherche

L’escalade des Houthis aurait été une attaque contre des zones civiles du district de Mawza, dans le Rif-Ouest du gouvernorat de Taiz (au sud-ouest), qui aurait fait 12 morts et blessés parmi les civils, y compris des femmes et des enfants, en même temps qu’elle aurait fait exploser trois maisons dans le district de Sirwah, dans le gouvernorat de Marib-Ouest, en représailles contre les assaillants du coup d’État. Trois civils, dont une fille et une femme, ont été tués et neuf autres blessés par les milices houthistes.

Abus des Houthis

Une organisation de défense des droits humains a rapporté que vendredi dernier, le premier jour de l’Aïd al-Fitr, la milice Houthi a fait sauter les maisons de trois citoyens dans le village d’Al-Zour dans le district de Serwah, à l’ouest du gouvernorat de Marib.

L’Organisation Musawah pour les droits et les libertés a déclaré dans un communiqué qu’elle avait reçu des informations selon lesquelles les milices avaient fait exploser les maisons de Saleh bin Saleh al-Dawla, Abdullah Saleh al-Dawla et Saleh Nasser al-Dawla al-Jahmi, dans le village d’Al-Zour, à l’ouest du gouvernorat de Marib.

Dans sa déclaration, l’organisation a déclaré que le nombre total de maisons détruites par la milice Houthi dans le seul village d’Al-Zour, qui est administrativement affilié au district de Sirwah, depuis la mi-février, s’élevait à plus de neuf maisons, dans le cadre de la politique systématique de la milice d’intimider ses opposants et de les chasser de force de leurs zones après avoir fait exploser leurs maisons.

Vol et pillage de la communauté

Les droits de l’homme yéménites, Abdul Sattar al-Shamiri, affirment que les violations des droits de l’homme se sont produites à un moment où la rue yéménite était en proie à l’indignation et à l’indignation, ce qui a appauvri la société tout en s’emparant de toutes les ressources et en empêchant la distribution de l’aide aux nécessiteux et aux pauvres.

Il a ajouté que les pratiques des milices consistant à appauvrir la société, à restreindre la philanthropie et à empêcher la charité pour les pauvres, ce qui a finalement conduit, juste avant l’Aïd al-Fitr à Sanaa, à la mort de plus de 80 personnes dans un incident qui s’est produit après que les milices ont tiré sur les fils d’électricité d’un groupe commercial sur le site de distribution de l’aide.

La milice des Houthis a choisi de déclencher la guerre et de la poursuivre, sans tenir compte des souffrances de la population et de la destruction et du pillage des institutions et des biens publics et privés, ce qui a fait du Yémen l’exemple de la pire crise humanitaire dans le monde et a freiné la réconciliation et l’engagement en faveur de la paix.

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