Golfe Persique

Supprimer « les mains de la bonté »… Les frères du Yémen violent le Ramadan


Le caractère sacré du ramadan n’a pas empêché les frères du Yémen d’arrêter les violations humanitaires qui ont été utilisées pour supprimer les « mains du bien » et pour attaquer les volontaires pour le petit déjeuner.

Une campagne de fraternité enragée a rassemblé un certain nombre de bénévoles lorsqu’un projet de charité a été distribué pour le petit déjeuner dans la province de Shabwa, au sud du Yémen, le deuxième jour du mois.

Selon des sources juridiques d’Ain News, deux patrouilles fraternelles ont déplacé des éléments armés qui avaient agressé un comité de secours du Conseil de transition du Sud et les ont empêchés d’exécuter le projet  »Iftar Al-Saim », avant d’enlever des travailleurs et des volontaires à Ataq, zone de Shabwa, sous l’influence de l’organisation terroriste au Yémen.

Elle a expliqué que parmi les personnes enlevées se trouvait le directeur du Département des droits de l’homme, dirigé par le « Shabwa Transitional », Ahmed Al-Hakal, et d’autres volontaires ciblant les malades, les voyageurs et les nécessiteux dans les rues d’Ataq.

Elle ajoute que les éléments de la fraternité ont détenu des volontaires et a enquêté plus de 8 heures dans un bâtiment près de la centrale électrique de Ataq, avant de confisquer leurs téléphones et de prendre l’engagement de ne pas mener d’activités caritatives et de les libérer sous pression officielle et publique.

Ce projet visait les patients vivant dans des centres d’isolement, des hôpitaux, des familles dans le besoin et des personnes qui voyageaient en Ligne internationale, avec 1 000 petits-enfants et 1 000 repas dans le cadre d’une campagne menée par une commission humanitaire de transition dans toutes les provinces du Yémen du Sud.

Le crime Frère est arrivé au Ramadan pour violer l’inviolabilité du mois de jeûne, dans lequel les musulmans ont toujours été plus nombreux que le petit déjeuner des jeûne et l’aide aux pauvres et aux nécessiteux pour gagner leur vie.

Le crime d’agression et l’enlèvement de volontaires ont été condamnés pour des droits politiques, sociaux et de la population, et ont été considérés comme des militants comme des cibles interdites pour la répression des « bons jours ».

Dans une déclaration, le CNT a reçu une copie de la déclaration, dans laquelle il a déploré la  »montée en puissance de la police » par les milices Ikhwan pour entraver l’activité de bienfaisance.

La déclaration considérait que l’agression contre la Commission et les Volontaires  »confirmait de nouveau la nature du régime des Frères, qui était une sorte d’otage, et qu’il fallait mettre fin à l’arrogance de ces milices et à leurs divers actes d’agression ».

Il a fait observer que  »l’escalade des frères au Ramadan était incompatible avec les valeurs et les préceptes de notre religion islamique et l’identité de la milice dominante qui n’acceptait pas l’autre et violait les Pactes et, en premier lieu, l’Accord de Riyad ».

Pour sa part, le Directeur du Service des droits de l’homme du Conseil de transition, Shabwa Ahmed Al-Hakal, a déclaré qu’il avait été surpris par des patrouilles de sécurité des Frères qui avaient procédé sans préavis à la décapitation et à l’arrestation inappropriée des pancartes du projet de charité comme des criminels ayant commis des crimes graves ou des terroristes d’organisations terroristes.

« Ils nous ont aussi forcés à bord de patrouilles en tant que criminels de guerre et n’ont pas vu les masses des chasseurs et l’inviolabilité de l’action humanitaire », selon un communiqué publié sur son compte Facebook par Al-Ain News.

Le Yémen, membre du Comité d’État pour les secours et les secours d’urgence, a estimé que ce qui s’était passé avec eux était une  »action contre l’humanité et contre le partenariat de Riyad, appuyé aux niveaux régional et international ».

Il a expliqué qu’il avait été longuement interrogé par des volontaires et qu’il avait été libéré après s’être engagé à interdire toute activité caritative, à les menacer d’être arrêté et à dissimuler par la force une fois qu’une action humanitaire de transition avait été menée, notamment en ciblant les patients et les familles dans le besoin.

Il est indiqué que Front Line a documenté plus de 787 arrestations d’autorités juives dans la province de Shabwa entre août 2019 et mars 2021.

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