Solutions politiques … Mettre fin aux conflits
En politique… Les modalités d’intervention varient en fonction des événements de l’heure, de l’évolution de la situation, des conflits d’intérêts, la lutte des États et de la limitation des différends.
Le dialogue, la négociation et la diplomatie, afin d’éviter les affrontements et la guerre et les pertes matérielles et humaines qui en découlent.
J’ai été frappé par la déclaration du Conseiller diplomatique, Anwar Mohamed Guergache, dans un discours télévisé et une leçon diplomatique, dans laquelle il a déclaré : »Les solutions politiques sont le moyen de mettre fin aux conflits dans la région, et les dialogues renforcent les relations entre les États qui partagent les visions d’une coopération future dans de nombreux domaines, afin de rétablir la stabilité dans la région », dans la conviction profonde que le dialogue et la paix doivent prévaloir face à l’intransigeance et à l’hostilité.
Peut-être la parole intervient-elle à un moment où le désir de dialogue et l’engagement diplomatique deviennent de plus en plus fréquents dans la région du Moyen-Orient, en raison de la persistance et de l’afflux de crises qui ne voient pas clairement la fin.
Avant la Charte des Nations Unies, les États avaient tendance à régler leurs différends par une action militaire, comme une manifestation de la souveraineté à l’époque, mais le règlement des différends avait considérablement évolué; Le droit international oblige les États à régler leurs différends par des moyens pacifiques, directs et indirects, dans le cadre d’un processus fondé sur la négociation, la soumission et l’équilibre entre les parties.
La diplomatie s’est révélée efficace dans le règlement des problèmes mondiaux de longue date en vue de désamorcer les guerres, et nous, dans le monde d’après-guerre, avons la plus grande crédibilité; Le dialogue et la diplomatie ont évité que le monde n’entre dans la guerre et que les pays arabes ne s’y trouvent à l’écart. Les tentatives diplomatiques ont permis de résoudre de nombreux dossiers épineux dans les zones de tension par le dialogue et de s’asseoir à la table des négociations. Il ne fait aucun doute que la démonstration de force fait partie de la diplomatie, mais ce sont des États puissants qui peuvent atteindre leurs objectifs par la communication et le dialogue sans perdre.
D’aucuns pensent que la diplomatie est la poursuite de la guerre par d’autres moyens, mais avec une puissance douce qui accroît les gains et réduit les pertes, ce qui permet aux États de renforcer leurs capacités militaires au moment où ils entretiennent de bonnes relations et de la coopération, mais il ne fait aucun doute que l’objectif ultime de la diplomatie est de faire de la paix la guerre, de sorte que ce dernier ne soit pas la seule issue du changement.
Et la fin de la phrase… Les interactions internationales imposent nécessairement un état de détresse, d’attraction, d’opposition et de concorde, alors que la paix reste une exigence permanente des peuples, et que la guerre est la dernière étape possible, mais qu’elle est nécessaire, chaque fois qu’elle est inévitable, pour préserver les intérêts supérieurs du peuple, de son sort et de son avenir.