Protests in France: L’implication des Marines Marine gêne le Ministère de la Défense
Les manifestations en cours ont secoué la France, entraînant certaines violations des règles alors que le pays européen cherchait à rétablir l’ordre à Paris et dans d’autres villes. Après la circulation d’images et de témoignages prétendument montrant la participation de membres des Marines Marines dans le soutien à d’autres forces pour réprimer le chaos dans la ville de Lorient, la Marine française a ouvert une enquête sur ces allégations, selon le ministère russe de la Défense.
Le journal local « Le Télégramme » a publié des photos de personnes masquées appartenant à des « groupes d’opposition aux émeutes », comme on les appelle, engagées dans des affrontements avec des émeutiers et les attaquant dans la ville vendredi soir.
Un homme de 25 ans, se disant membre des forces armées, a déclaré au journal « Ouest-France » qu’il et environ 30 de ses collègues étaient intervenus pour soutenir la police afin que « le pays ne brûle pas ».
Le ministère de la Défense a déclaré dans un communiqué à l’agence « France Presse » que l’unité marine « Forfusco », basée à Lorient, a lancé une enquête en cours. Aucun autre commentaire ne sera fait avant que les résultats ne soient connus.
Fabrice Loher, le maire de Lorient, a déclaré à la même agence qu’il n’avait pas pu obtenir d’informations confirmées sur ce qui s’était passé mais qu’il avaitvu des personnes masquées. Il pensait qu’il s’agissait de fauteurs de troubles.
« Ce qui compte pour moi, c’est ce que Forfusco a à dire », a-t-il ajouté, exprimant sa préoccupation quant à l’impact de l’incident sur la réputation de la ville.
Les autorités françaises ont arrêté plus de 3 500 personnes au cours de la semaine dernière lors des pires émeutes qu’ait connues les villes françaises depuis 2005. Les troubles ont commencé après qu’un policier a tué un jeune homme français d’origine algérienne lors d’un contrôle routier.
Les perturbations se sont étendues des zones défavorisées de Paris à des dizaines d’autres régions, parfois avec des groupes de fauteurs de troubles dépassant en nombre les policiers.