Pour attiser le chaos… Les bras terroristes des Frères musulmans alimentent la crise soudanaise
Alors que le conflit se poursuit au Soudan et que les crises qui en découlent s’intensifient, les courants islamistes politiques dans le pays, au premier rang desquels les Frères musulmans, tentent d’utiliser le paysage actuel avec toutes leurs « malheurs » pour avancer leur propre programme. Les Frères musulmans terroristes ne sont pas absents de Khartoum et ont joué un rôle dans le conflit qui s’y déroule.
Mouvement des Frères
Un rapport de Roaya Network a révélé l’existence d’un nouvel activisme, qui a amené les Frères musulmans à prendre le parti de ce qu’on appelle les Brigades de l’ombre, en attirant le conflit au Soudan alors que de nombreux pays et organisations internationales s’y tiennent.
Les experts ont découvert que les forces de l’Islam politique tentent actuellement de couler encore plus d’essence dans les feux entre l’armée et les troupes de soutien rapide, en maximiser la durée de vie et torpiller toutes les possibilités d’ententes politiques qui pourraient entraver les projets de l’organisation.
Mise en œuvre d’un programme
Le Dr Tarek Al-Basheibshi, chef de file dissident des Frères Musulmans, expert des groupes terroristes, déclare que « l’émergence des courants de l’islam politique et ses tentatives de mettre en œuvre un programme d’intérêt spécial au vu du contexte actuel du conflit au Soudan sont extrêmement dangereuses, et qu’ils cherchent constamment à déclencher la guerre et à s’y opposer contre la fin de la guerre, contre l’armistice humanitaire et contre tout accord de cessez-le-feu, faire avancer le processus politique et former un gouvernement civil.
Il a poursuivi: « Les courants de l’islam politique, sous la direction des Frères musulmans, tentent actuellement de transformer le conflit entre deux forces en un conflit idéologique profond, ce qui complique la crise au Soudan, en déclarant que les brigades des Frères s’appuient sur la création de crises pour les biens de première nécessité, le chaos et la guerre au Darfour (ouest), au Nil Bleu (sud-est) et au Kordofan méridional (sud) pour compliquer la situation humanitaire sur le terrain ».