Plan des Houthis pour piller les terres et les propriétés des Yéménites – Détails
La milice terroriste Houthi, soutenue par l’Iran, poursuit ses tentatives terroristes de s’emparer de terres et de biens appartenant à des citoyens dans les zones situées à l’ouest de la capitale iranienne, Sanaa, sous prétexte qu’elle a trouvé un document de projet rédigé au VIIe siècle de l’Hégire, qui prévoit la suspension de la zone, qui comprend désormais des dizaines de quartiers et des milliers de maisons et d’intérêts publics et privés.
Coup d’État
Depuis son coup d’État, la milice terroriste Houthi, qui contrôle par la force les institutions de l’État, y compris le Ministère des Waqf et ses archives dans la capitale, Sanaa, et d’autres zones qu’elle contrôle, a entrepris de mettre en œuvre un plan systématique de pillage des terres et des biens des citoyens, de les utiliser pour servir leurs objectifs et financer leur effort de guerre, et d’utiliser le moratoire comme prétexte pour le mettre en œuvre.
Violations graves
Human Rights and Liberties Organization déclare que le groupe Houthi commet une violation flagrante du droit de propriété des citoyens vivant dans Mudabah, Sunaynah et Sa’wan dans la capitale, Sanaa, au motif de l’intérêt public et de la nécessité militaire. Il souligne que la confiscation de terres et de propriétés privées et l’imposition de conditions restrictives qui empêchent les citoyens d’exercer leur droit de construire et d’amender sous prétexte de l’intérêt public, ainsi que la création de sites militaires, constituent une violation flagrante des droits fondamentaux garantis par le droit international et le droit yéménite.
Procédures dangereuses
Wadah Ben Attiya, analyste politique yéménite, a déclaré que cette mesure dangereuse révèle l’impuissance et l’intransigeance des milices Houthis dans le pillage des biens et des biens des citoyens, et la poursuite de la politique d’appauvrissement, de famine et de déplacement forcé, sans tenir compte de la détérioration de la situation économique, de la crise humanitaire qui s’aggrave et des déplacements internes et externes qui se sont multipliés dans l’histoire du Yémen du fait de la guerre déclenchée par le coup d’État.
Il a souligné que la communauté internationale, l’Organisation des Nations Unies et ses envoyés au Yémen ainsi que les organisations et organes de défense des droits de l’homme devaient prendre des mesures pour condamner sans équivoque ces pratiques criminelles qui violent les lois et les instruments internationaux, en particulier la Déclaration universelle des droits de l’homme et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, et faire pression sur les milices pour qu’elles mettent un terme à toutes les formes de pillage des biens des citoyens.
L’Iran doit mettre fin à son comportement déstabilisateur à l’égard de la sécurité et de la stabilité au Yémen et dans la région en continuant d’appuyer et de fournir des armes à la milice terroriste Houthi.