Moyen-Orient

Peuples en détresse et la roulette russe


Les Libanais succombent à la peine de mort en attendant une heure de détente avec l’arrivée du dossier des négociations américano-iraniennes.

Ils commentent la diffusion d’informations par les médias sur les progrès à Vienne, dans l’espoir de mettre un terme à l’amertume et à l’impasse qui empêchent les nuits de tendresse de retourner dans les pays du Riz, avec un gouvernement qui présente des miracles, des élections révisionnistes et un nouveau président qui donne une page d’accueil au Pacte fort.

Comme au Liban, dans d’autres pays, l’axe iranien est le centre où la tutelle politique confisquée entraîne des crises de vie qui se reproduisent pour reproduire de nouvelles réalités, telles que la pauvreté, le déplacement, l’arrestation et la mort, dans l’intention de se rendre aux forces de fait, indépendamment des institutions constitutionnelles, militaires, juridiques et des droits de l’homme.

C’est comme si les peuples de ces pays attendaient passivement les avantages des dirigeants régionaux et des grandes puissances, qu’ils restent en otage par un jeu mortel qui a besoin d’eux-mêmes et qui peut ne pas être capable d’être suivi par un père qui cherche à trouver du pain et du lait pour ses enfants dans des pays qui échouent à assurer l’électricité, l’eau, les médicaments, l’école et l’hôpital.

Pour des raisons qui n’ont rien à voir avec l’ordre du jour du conflit des adultes, les négociations, les banques de leurs objectifs, et la capacité de chacun à faire chanter les négociateurs pour qu’ils conservent leurs avantages.

Souvenons-nous que les enseignants ont toujours choisi l’élève le plus indiscipliné et le plus connu pour avoir réussi à le retrouver et à persécuter les autres étudiants.

La peur est justifiée par l’intégration du principe, qui va au-delà des stratégies éducatives, entre les grandes puissances internationales et régionales qui sont plus petites et plus grandes que nous, mais c’est là que le désir est beaucoup plus tenace, plus tenace et plus fragile.

C’est à ce moment-là que le monde s’intéresse aux équations sanguinaires, aux conséquences et aux catastrophes qui en découlent et qui se déplacent dans des zones dont le besoin est Al-fatwa/Baltagi, se régénère et détruit ses fondations, et passe en revue sa force pour convaincre les plus forts de son adoption bien connue.

Par conséquent, les peuples des pays touchés par l’agenda de l’axe iranien craignent que les États-Unis n’adoptent une politique de désignation du chef de cet axe troublé comme gardien de celui-ci. Quant à son pari pour le salut, il oblige les émeutiers à parer les armes qui mettent en œuvre les programmes.

Ce que l’Iran veut des négociations, c’est lever les sanctions en échange de concessions sur le programme nucléaire iranien, les mesures nucléaires demandées par l’Iran et les nouveaux centrifugeuses.

Alors qu’il s’avère qu’un accord est possible et ne prendra que des mois, il ne semble pas y avoir d’engagement à contrôler les bras de l’Iran, dont les réacteurs sont en expansion, où la Banque des Objectifs doit créer l’équation régionale nécessaire, que ce soit avec le Hezbollah, le Hamas ou les Houthis.

Dans ces négociations, l’inquiétude est que l’Iran reste fidèle aux feuilles des peuples qu’il contrôle en échange de ses armes nucléaires, et qu’il convainque le « Grand Satan » de le livrer officiellement au territoire en échange de certaines assurances concernant plus que le sommet de la vie des nations qui ont saboté sa sécurité, sa sécurité et sa stabilité.

Ici, les répercussions de la politique américaine de « bâton et de carottes » et de la communauté internationale à l’égard de l’Iran ne sont pas évidentes.

On ne peut pas prédire qui paiera les factures, comme cela s’est produit après l’invasion du Koweït par l’Iraq et la position du défunt Président syrien Hafez el-Assad qui a été arrêté au Liban après l’accord de Taëf.

Les peuples en difficulté ne peuvent que se demander ce qui va conduire l’Iran vers les Etats-Unis pour gagner officiellement la Lettonie, et devenir dépendant des pays qu’il contrôle et contrôle.

Bien sûr, compte tenu de la spécificité de chacun de ces pays et des relations entre les États-Unis, la Russie, la Turquie, Israël ou même la Chine, ce qui se passe en Irak ne peut pas être vrai en Syrie, et ce qui est possible au Liban, peut-être pas à Gaza. L’ordre du jour de la guerre au Yémen pourrait être indépendant d’un autre, en fonction des données de la Bourse.

Quoi qu’il en soit, l’Iran se contente d’offrir les documents qu’il contrôle pour négocier, parce que la force de ces documents est liée à son engagement à ne plus se plier aux peuples qu’il voit à travers ses bras.

Ce fléau est vendu aux États-Unis à la table de Vienne. Elle a le sentiment que les combats ne se déroulent pas dans ses propres foyers, mais dans les foyers arabes et avec la chair de poule arabe, elle peut donc infliger des blessures aux sanctions jusqu’à ce qu’elles aient le prix voulu.

En attente, ce n’est pas le prix que les enfants terrifiés paient par la circonvolution. Ils parient sur le jeu russe de Rolette qui pourrait balayer leurs têtes ou les sauver si les négociations de Vienne ne se contentent pas de les libérer des bras, rétablissant ainsi la stabilité et une existence digne et insatiable des Russes.

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