Membre du Conseil national fédéral : Sultan Al Jaber est l’homme idéal pour le succès de « COP28 »
Mohammad Ahmad Al-Yamahi, membre du Conseil national fédéral, a souligné que l’accueil par les Émirats arabes unis de la Conférence des États parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP28) en 2023 renforce la confiance du monde dans les efforts et les initiatives qu’ils déploient pour lutter contre les changements climatiques et leur aptitude à susciter des changements positifs pour assurer un avenir fondé sur le développement durable.
Dans une déclaration spéciale à l’intention de 24, Al-Yamahi a indiqué que les Émirats arabes unis, qui ont été parmi les premiers à signer et ratifier la Convention de Paris sur le climat, avaient signé et ratifié la Convention de Paris sur le climat, s’étaient engagés et avaient adopté des plans de réduction des émissions à l’échelle économique et avaient lancé une initiative stratégique sur le climat, « Neutralité climatique d’ici à 2050 », dont l’objectif était d’atteindre un taux zéro d’émissions de carbone, preuve de leur engagement et de leur contribution à la dynamique mondiale de l’environnement.
The Right Man
Le membre du Conseil national fédéral a rappelé que la décision de confier à M. Sultan Bin Ahmed Al Jaber le poste de Président désigné de la vingt-huitième session de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP28) confirmait le rôle important joué par les dirigeants des Émirats arabes unis dans le choix des personnes compétentes, ayant une expérience universitaire et pratique et mettant l’homme au bon endroit.
Confiance accrue
Selon Al-Yamahi, « le choix d’Al Jaber confirme la confiance dans sa vaste expérience en matière de durabilité et de changement climatique, sa grande capacité à faire fonctionner Cope 28, et à conduire le processus intergouvernemental pour établir des contacts et coopérer avec la communauté internationale pour trouver des solutions pratiques qui profiteront à la région et au monde sur le plan économique et social à long terme, surtout après les dommages causés par le changement climatique et la perte de biodiversité ».