Malgré la demande du Koweït pour une trêve, les médias qatariens continuent d’insulter le Quatuor
Après plus de 3 ans de boycott du Qatar par l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, l’Égypte et Bahreïn, ils ont en fait fortement affecté tous les domaines de Doha, et malgré de plusieurs allégations des efforts du Qatar pour la réconciliation arabe actuelle, médiatisée par le Koweït et les États-Unis, les médias fidèles à Doha n’ont pas hésité à attaquer le Quatuor arabe en utilisant tous les moyens.
Dès la diffusion des déclarations de réconciliation et les efforts fructueux entre l’Amérique, le Qatar, l’Arabie saoudite et le Koweït, Doha a continué à pousser ses mouches électroniques à travers les réseaux sociaux et les médias, notamment le chanel Al-Jazeera, en ne respectant pas les demandes de trêve du Koweït, et elle a célébré les conséquences de la réconciliation sur l’économie qatarie et la bourse qui a enregistré des pertes sévères, et donc les actions qatariennes ont augmenté et le principal indice qatari a augmenté de 1,7%, ce qui prouve la nécessité pour Doha de retourner aux relations et l’investissement.
Malgré les négociations que Qatar mène actuellement avec l’Arabie saoudite, il cherche toujours à dénigrer le Quatuor arabe, notamment après que le Royaume a affirmé que la réconciliation n’aura lieu que si Doha arrête de soutenir le terrorisme, pour que l’organisation Al-Hamdeen pousse ses soldats et mercenaires à insulter de Riyad.
En effet, Al-Jazeera a récemment conduit une campagne planifiée contre l’Arabie saoudite et son prince héritier, le prince Muhammad ben Salmane, alors qu’elle mettait en évidence sur les commentaires de l’Arabie saoudite à propos du meurtre du scientifique iranien Mohsen Fakhrizadeh, et alléguait un rejet international de la décision du conseil saoudien des Oulémas de classer les Frères musulmans comme un groupe terroriste, ainsi que des déclarations de passage d’un avion israélien au-dessus du ciel de Riyad.
Al-Jazeera a également allégué qu’il y avait un différend entre l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, et cela n’est pas vrais, et a affirmé dans d’autres rapports que le Royaume souffrait d’une crise économique de sorte de prêter 7 milliards de dollars, ainsi que d’essayer de dénigrer le prince héritier saoudien.
Le Qatar a également poussé ses mercenaires à travers les sites de réseaux sociaux Facebook et Twitter, à offenser l’Arabie saoudite, notamment pendant des deux derniers jours, lorsque de faux comptes sont apparus, faisant circuler plusieurs fausses allégations sur le Royaume, dont l’allégation de soutien saoudien aux frères, alors que le Royaume les ait classés comme un groupe terroriste, de plus de l’allégation que le prince héritier à prit plusieurs procédures négatives qui dérangent le royaume, et insulte les symboles de Riyad, y compris le premier chevalier saoudien, Alia abutayeh alhwiti, qu’elle reçoit de l’argent pour promouvoir son pays, et elle a rapidement démenti cela.
A propos de l’Égypte, les journaux qatariens ont intentionnellement publié des allégations que l’Égypte et les Émirats arabes unis ont été renversés de la réconciliation, et l’exploitation du cas des prisonniers de l’initiative égyptienne pour les droits personnels qui ont été récemment libérés, ainsi que déformant l’actuel festival international du film du Caire, de plus de tenter d’offenser le ministère égyptien des dotations, aussi affirmant qu’il y avait vol de milliards de dollars et gaspillage de bâtiments, cela est complètement contraire à la réalité.
En outre, le Qatar n’a pas hésité à dénigrer les Émirats arabes unis, qu’il considère comme son premier ennemi dans le Golfe en raison de son grand rôle dans la région arabe et de son énorme succès international. Il n’a pas respecté la demande du Koweït pour propager le calme et a publié le lendemain de la demande un épisode sur le programme Almotahari sur Al-Jazeera, qui comprend des insultes dures aux Émirats arabes unis.
Al-Jazeera a publié plusieurs rapports avec allégations sur l’existence de désaccords entre l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, notamment au sein de l’organisation OPEC, et cela oppose totalement la réalité, et a affirmé qu’Amnesty International a renouvelé son appel aux États-Unis pour arrêter les ventes d’armes annoncées aux Émirats arabes unis et déforme l’achat d’Abu Dhabi de 50% du club Beitar Jérusalem.