Les Nations Unies se plaignent de la terreur des Houthis: L’explosion d’une mine dans une voiture contenant le chef de la mission de l’ONU
Les actes de terrorisme perpétrés par la milice houthiste au Yémen se poursuivent, dans le silence total de la communauté internationale, et les violations continues contre des civils, les attaques contre des installations vitales, la menace du pétrole et de la navigation internationale, ainsi que les violations commises contre des enfants, des jeunes et des femmes, tout cela dans la chaîne et l’histoire criminelle du groupe terroriste Houthi.
Terrorisme des Houthis
Le général irlandais Michael Perry, chef de la Mission des Nations unies à l’appui de l’Accord de fer, a survécu mardi à l’explosion d’un champ de mines lors du passage de son convoi près du quartier du 7 juillet dans la ville côtière de sur la mer Rouge, à l’ouest du Yémen.
Selon le Groupe d’experts internationaux du Conseil de sécurité, l’emploi sans discernement de mines terrestres et d’engins explosifs artisanaux par les Houthis est endémique et systématique. Depuis le début du conflit il y a huit ans, plus de 10 000 civils, dont la plupart sont des femmes et des enfants, ont été victimes de mines terrestres et d’engins explosifs improvisés, selon des rapports nationaux et internationaux.
Zone minée
Le gouvernorat d’al-Hudaydah est l’une des zones les plus polluées par les mines terrestres et les restes explosifs de guerre, suite à l’appel lancé par le Conseil de sécurité en faveur d’une action urgente face aux mines terrestres et aux restes explosifs de guerre au Yémen. Le Conseil de sécurité a pris note avec inquiétude de la menace que les mines terrestres et les restes explosifs de guerre continuent de faire peser sur les civils au Yémen au cours de la dernière séance du Conseil de sécurité consacrée au Yémen, le 22 novembre dernier.
Organisation terroriste
Abd al-Hafid Nahari, analyste politique yéménite, a déclaré que l’explosion d’une mine aurait tué le chef de la mission. Il a montré au monde entier les crimes et les actes de terreur commis par la milice al-Houthi au Yémen, dont la mission de l’ONU a eu l’occasion de rappeler que la communauté internationale tout entière est appelée à agir d’urgence pour mettre fin au terrorisme des Houthis et à le qualifier de groupe terroriste.
L’analyste politique yéménite a ajouté que les crimes de Houthis ont atteint les plates-formes pétrolières, ce qui est devenu une atteinte aux capacités et aux investissements vitaux et irremplaçables du peuple yéménite, n’a servi qu’à aggraver les souffrances humaines, les violations des droits des enfants, la culture de mines, les restrictions aux libertés et les agressions des journalistes, les restrictions extrêmes imposées aux femmes, la diffusion d’idées extrémistes et la destruction du système éducatif. Tous ces crimes supposent que les milices Houthis soient qualifiées de « groupe terroriste » par une résolution internationale.