Grand Maghreb

Les mensonges des Frères musulmans continuent malgré l’arrestation de Ghannouchi


Le groupe terroriste des Frères Musulmans continue de jouer sur les rumeurs et les mensonges afin d’atteindre ses visées et ses objectifs de déstabilisation et de sécurité dans de nombreux pays arabes.

Les Frères musulmans pourraient bien être en Tunisie la consternation de inventer des mensonges, comme d’habitude, après l’arrestation du dirigeant d’Ennahdha, bras politique des Frères terroristes tunisiens.

Répandre des rumeurs

Les Frères Musulmans en Tunisie promeuvent la rumeur après l’arrestation de Rachid Ghannouchi, faisant valoir que sa santé s’était détériorée durant sa détention.

Ghannouchi est arrêté pour avoir publiquement participé à un colloque contre l’État tunisien, où il prône la violence et incite à brûler le pays avec du sang.

Mais l’homme qui menaçait la Tunisie était soudainement atteint d’un certain nombre de maladies et avait sombré dans un état d’infériorité, d’après son groupe qui avait menti par l’intermédiaire du Socieal Media, afin d’induire en erreur l’opinion publique.

Ces mensonges ne sont que des manipulations habituelles du mouvement; chaque fois qu’un dirigeant fraternel est arrêté, les partisans de l’organisation terroriste le revendiquent d’une malveillance.

L’ancien ministre de la Justice Noureddine Bhiri et l’ancien ministre de l’Intérieur Ahmed Ali Larayedh ont été hospitalisés après leur arrestation pour ce qui aurait été une détérioration de leur état de santé.

Le juge des Frères Al-Bachir Akrami a été transféré à l’hôpital après une crise neurologique et une démence.

Le chef des Frères de Tunisie, Rached Ghannouchi, se trouve actuellement à l’hôpital, après que son état de santé se soit détérioré quelques heures après son arrestation, de peur de rendre des comptes.

Dans une lettre aux Frères, le président tunisien Kaïs Saïed affirme que certains recherchent des dispositions pour échapper à la responsabilité et à l’obligation de rendre des comptes, comme l’a prétendu la maladie et feint la folie quand elle a été déportée par la justice.

L’écart se creuse jour après jour en Tunisie, entre le mouvement Ennahdha et le peuple tunisien et les institutions de l’État, en raison des actions et déclarations controversées du dirigeant du mouvement Rached Ghannouchi.

Un fonctionnaire du Ministère de l’intérieur a déclaré que l’arrivée de Ghannouchi aux fins d’interrogatoire et d’inspection de son domicile avait été ordonnée par le Procureur général afin d’enquêter sur des « déclarations incendiaires ».

Interdiction de se réunir aux sièges du parti Ennahdha

Les autorités tunisiennes interdisent les réunions dans tout le quartier général du parti Ennahdha et ferment les réunions du Front du salut de l’opposition.

Ghannouchi avait fait des déclarations au cours d’une conversation qu’il avait eue avec des dirigeants du Front de salut national, affirmant que « l’obstruction intellectuelle et idéologique de la Tunisie, en fait, engendre une guerre civile, parce que l’image de la Tunisie sans l’un ou l’autre de ces partis, la Tunisie sans l’autre, la Tunisie sans l’émergence, la Tunisie sans l’islam politique, la Tunisie sans la gauche, la Tunisie sans aucune composante, est un projet de guerre civile ».

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