L’effondrement de l’État yéménite se poursuit dans les zones sous le contrôle de la milice Houthis depuis le coup d’État contre la légitimité en septembre 2014. Cet effondrement a touché divers secteurs du pays, tels que l’économie, la santé, la politique et plus récemment, l’éducation, notamment avec le contrôle des rebelles sur le système éducatif. Cela a aggravé la situation, en particulier avec la poursuite intense des rebelles visant à changer l’identité yéménite.

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Crimes des Houthis

Les crimes commis par la milice houthie contre l’éducation au Yémen ont dépassé la manipulation de l’identité éducative yéménite pour la transformer en colonie iranienne. Les crimes se sont étendus à la fermeture de milliers d’écoles et d’institutions éducatives pour diverses raisons, notamment les risques sécuritaires, leur transformation en casernes militaires ou leur utilisation comme abris pour les personnes déplacées et les réfugiés. De plus, les écoles et universités privées et non publiques ont été complètement détruites lors des différentes batailles à travers le pays.

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Destruction du secteur de l’éducation

L’activiste des droits de l’homme yéménite Ahmed Jabari a déclaré que le secteur de l’éducation dans les zones contrôlées par la milice terroriste houthie avait atteint une nouvelle étape en raison des violations commises par les milices à cet égard. Parmi leurs crimes récents, la milice houthie a mis fin de manière arbitraire aux emplois du secteur public, saisi les cours des écoles gouvernementales et les a transformés en projets d’investissement, et ciblé l’esprit des étudiants avec des idées racistes et sectaires.

L’expansion des violations Houthis contre le secteur de l’éducation et ses membres a provoqué une grave crise, comme en témoignent de nombreux rapports des Nations Unies et des statistiques internationales, qui font état de destructions massives dans les écoles et les installations éducatives, ainsi qu’un taux d’abandon très élevé.

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Ces attaques destructrices des Houthis contre le secteur de l’éducation ont mis en garde contre de nombreux risques qui attendent les nouvelles générations, surtout que ceux qui abandonnent l’éducation sont poussés par la pauvreté, le besoin ou la peur de rejoindre les rangs des milices, ouvrant ainsi la voie à la création de générations endoctrinées.