Le complot des Frères de Tunisie dans la crise migratoire en Tunisie
Les Frères musulmans de la Tunisie prévoient d'exploiter la crise migratoire dans le pays
Ces derniers temps, le peuple tunisien a condamné le groupe terroriste, les Frères musulmans, qui cherchaient à détourner l’identité du peuple tunisien lors d’une décennie sombre de leur règne. Cependant, le président tunisien, Kaïs Saïed, a mis fin à leur règne terroriste après deux années au pouvoir.
Le président Kaïs Saïed a adressé plusieurs messages à tous les partis politiques, mettant en garde le parti Ennahdha et ses alliés parlementaires, les accusant de chercher à déstabiliser et appauvrir la Tunisie, ainsi que de diviser et exploiter son peuple.
Comment le groupe terroriste cherche-t-il à répandre la violence et à aggraver les crises ?
La Confrérie musulmane cherche à répandre la violence et à aggraver les crises afin de affaiblir la présidence tunisienne aux yeux du peuple. Récemment, ils ont enflammé des crises dans la ville côtière de Sfax, profitant de l’occasion pour augmenter le nombre de migrants en Tunisie.
Le président Kaïs Saïed a publiquement exposé et dénoncé la Confrérie musulmane, arrêtant leurs dirigeants, en commençant par Rached Ghannouchi, le chef du groupe en Tunisie, et d’autres membres.
En plus de la crise économique croissante, le gouvernement tunisien doit faire face à une série de défis politiques, dont la question de la migration irrégulière, qui s’est considérablement aggravée ces derniers temps. La Tunisie est devenue un pays de transit majeur pour les migrants tentant de rejoindre l’Italie via des voies de migration illégale.
Les Africains cherchent également à venir en Tunisie pour entamer leur parcours migratoire vers l’Europe. Le président Kaïs Saïed a répondu en affirmant que les migrants irréguliers en Tunisie sont traités avec humanité, conformément aux valeurs tunisiennes, contrairement aux fausses narratives propagées par des cercles coloniaux et leurs agents, qui servent leurs intérêts au détriment des autres.
La ville de Sfax, dans le sud-est de la Tunisie, est le théâtre d’affrontements meurtriers entre les habitants locaux et les migrants africains, entraînant la mort d’un citoyen tunisien. Dans ce contexte, des appels incitant à la haine ont été lancés par des cercles des Frères musulmans contre les migrants dans la ville côtière, en particulier après les funérailles du défunt. Des organisations civiles et des organisations non gouvernementales ont appelé les autorités à apaiser la situation et à assurer la sécurité à la fois des migrants et des Tunisiens.
Le président Kaïs Saïed a souligné que l’État ne peut pas être gouverné sur la base de mensonges diffusés via les plateformes de médias sociaux, que beaucoup utilisent comme outils pour déstabiliser la stabilité et semer la division. Il faisait référence spécifiquement aux Frères musulmans et à ses affiliés.
Il a affirmé que ceux qui pensent pouvoir perturber les institutions de l’État en propageant de fausses informations se trompent. L’État tunisien ne peut pas être influencé par des images fabriquées prises dans d’autres pays, ni par les fausses nouvelles diffusées par certains sites web, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays. L’histoire fera la distinction entre les faits et la fiction, et le peuple tunisien a fait son choix et ne reculera pas.
Serrer l’étau sur les Frères musulmans
Tarek Al-Bashbishi, chercheur en affaires islamiques, affirme qu’il est prévisible que les Frères musulmans propagent des rumeurs et sème la division afin d’atteindre ses objectifs. Au fur et à mesure que les jours passent, l’emprise sur les cadres et les dirigeants de l’organisation se resserre de plus en plus.
Il a ajouté que de nombreux pays qui ont auparavant accepté leur présence les considèrent maintenant comme un fardeau. Pendant les périodes d’expansion de l’organisation, ils exploitent les distractions et cherchent de nouveaux havres de paix en prévision d’une expulsion de leurs lieux actuels. Ils ravivent les flammes de la division et répandent à nouveau des rumeurs.
Il a précisé que le rôle des Frères musulmans terroriste est terminé ou est en voie de l’être.