La Tunisie ouvre des enquêtes dans une affaire impliquant le fils fugitif de Ghannouchi – Détails
Le pouvoir judiciaire tunisien a ouvert une nouvelle affaire de conspiration contre la sécurité nationale, menée par le fils du dirigeant du mouvement Ennahdha, Maad Ghannouchi, et des dirigeants de l’appareil secret des Frères, l’ancien chef du gouvernement, Youssef Chahed, et l’ancien conseiller du palais de Carthage, Nadia Akacha, dans le but de renverser le régime du président tunisien Kaïs Saïed.
Terrorisme d’Ennahdha
Depuis 2011, il est le fils aîné du président d’Ennahdha et le père de ce dernier comme établissement permanent, chargé de l’ordre du jour des rendez-vous sans rôle politique explicite ni officiel, pour que l’entrepôt des secrets de son père gère les dossiers les plus incendiés entre lui et son père. Le nouveau projet des Frères musulmans cherche à attirer l’attention de l’opinion internationale pour gagner de la sympathie et intervenir dans l’évacuation de son père, malgré l’accumulation des problèmes et l’appel à la sortie en toute sécurité de Rached Ghannouchi de Tunisie.
Attentat
Le politicien Oussama Aouidet et dirigeant du Mouvement du peuple tunisien explique que Mouaz Ghannouchi est l’un des éléments les plus dangereux de l’organisation, entouré d’un vaste réseau de relations et de moyens financiers considérables pour l’aider à sortir de prison Rachid Ghannouchi et pour financer les tentatives de coup d’État pour revenir au pouvoir.
Il a ajouté que, malgré ces tentatives, la relation de la présidence tunisienne avec le monde n’avait pas été mise en cause, car la délégation des dirigeants de l’Union européenne qui s’était rendue en Tunisie dimanche dernier n’avait pas parlé de cela, comme l’avaient espéré les Frères musulmans fomentés à l’étranger.
Le fils de Ghannouchi dirige le complot contre la sécurité de l’État, l’un des principaux conspirateurs de la sécurité de l’État, et il indique que le peuple tunisien sait les risques et les plans que le mouvement terroriste mène pour détruire l’État.