La milice des Houthis fait chanter les yéménites pour financer son terrorisme
Dans la preuve la plus récente du crime des Houthis, soutenus par l’Iran, les milices ont distribué des enveloppes aux habitants de la capitale du Yémen, Sanaa, en échange de l’argent qu’ils ont reçu en échange de leur part de bouteilles de gaz domestique.
Le site yéménite Yemen Shabab Net a relaté des habitants locaux qui ont déclaré : La milice des Houthis a distribué des enveloppes spéciales en faisant don des combats aux habitants de Sanaa, en liant le versement de leurs parts de gaz domestique au versement de ces dons, par l’intermédiaire des boutiques qui ont été chargées de distribuer les enveloppes et le gaz domestique.
Ouragan du Yémen
La milice a exigé aux citoyens de donner leur soutien à ce qu’elle appelle « l’ouragan du Yémen » et au grand convoi pour le septième anniversaire de ce qu’elle appelle « résistance à l’agression américaine », en référence à l’opération « Tempête décisive » lancée le 26 Mars 2015 pour soutenir le gouvernement légitime.
À la mi-janvier, le groupe terroriste Ansar Allah a annoncé l’opération « Typhon Yemen », qui a visé les aéroports de Dubaï, Abu Dhabi et la raffinerie de pétrole du district Musaffah d’Abu Dhabi, ainsi que plusieurs sites et installations importants et sensibles des Émirats.
D’une manière générale, le cylindre de gaz domestique est devenu inaccessible à Sanaa et dans les zones contrôlées par la milice des Houthis, qui ont provoqué une crise étouffante, et le prix du gaz domestique sur le marché noir a été porté à environ 20 000 rials, comme dans la ville d’Ibb, au centre du Yémen, selon Yemen Shabab Net.
Au cours des dernières années, les milices des Houthis à Sanaa et dans les provinces qu’elles contrôlent ont pillé l’argent des citoyens de façon peu justifiée, en particulier lors des nombreuses manifestations confessionnelles qu’elles ont créées, dans le but de créer une nouvelle classe de riches pour ses dirigeants et de récolter des sommes considérables dans les poches des citoyens.