La dernière en date : Interdiction de la voix… Le bilan criminel des Talibans contre les Afghanes
Depuis leur prise de pouvoir en Afghanistan, les Talibans poursuivent la mise en œuvre de politiques répressives qui affectent gravement les droits des femmes dans le pays.
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La Russie invite les Talibans à participer à un forum économique
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Rapport des Nations Unies Documentant les Violations Commises par les Talibans
Les violations des droits augmentent de manière significative, mettant en lumière l’escalade des pratiques brutales reflétant l’engagement de ce groupe à son idéologie radicale.
La dernière violation en date est l’adoption par les Talibans de nouvelles restrictions visant à « combattre le vice et promouvoir la vertu ».
Le document, composé de 35 articles incluant des lois sévères, considère la voix des femmes comme des « instruments potentiels de vice » et stipule que « les femmes ne doivent pas chanter ou lire à haute voix dans les lieux publics, et leur voix ne doit pas dépasser les murs de leur domicile. »
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Les femmes réagissent à la répression des Talibans
Des femmes afghanes ont commencé à réagir à ces mesures, enregistrant des vidéos d’elles chantant à travers le pays, défiant ainsi les politiques des Talibans visant à effacer les femmes de l’espace public.
Dans ces vidéos, on voit des Afghanes chanter seules ou en petits groupes, utilisant des hashtags tels que « Ma voix n’est pas interdite » et « Non aux Talibans« , tout en élevant leurs voix contre ce que des responsables des Nations Unies ont qualifié d’ »apartheid fondé sur le genre ».
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Le bilan criminel des Talibans contre les femmes
Les rapports des droits de l’homme et les observateurs de la situation en Afghanistan continuent de documenter les crimes commis par les Talibans contre les femmes, soulignant un recul significatif des droits humains. La communauté internationale doit prendre des mesures efficaces pour faire pression sur les Talibans afin de mettre fin à ces violations et garantir la protection des droits des femmes en Afghanistan.
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- Imposition de restrictions strictes à la liberté de mouvement :
Sous le régime des Talibans, des restrictions sévères ont été imposées à la liberté de mouvement des femmes. Elles sont interdites de quitter leur domicile sans la présence d’un chaperon masculin, limitant leur capacité à travailler, étudier ou mener des activités quotidiennes. Ces restrictions réduisent les opportunités des femmes de contribuer à la société et à l’économie, aggravant leur souffrance.
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- Interdiction de l’éducation et du travail :
L’une des violations les plus flagrantes est l’interdiction pour les femmes d’accéder à l’éducation. Les écoles secondaires et les universités sont fermées aux filles et aux femmes, les privant ainsi d’opportunités d’apprentissage et de développement professionnel. De plus, elles sont exclues des emplois publics et privés, érodant leurs droits économiques et sociaux.
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- Imposition de lois répressives sur l’habillement et le comportement :
Les Talibans imposent des lois strictes concernant l’habillement et le comportement des femmes. Elles sont contraintes de porter la burqa ou des vêtements couvrant entièrement leur corps, et ne peuvent apparaître en public sans être accompagnées d’un chaperon masculin. Ces lois renforcent une culture de contrôle et de surveillance sur les femmes, réduisant ainsi leur liberté de choix dans la société.
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- Arrestations et torture :
L’Afghanistan a connu une augmentation significative des cas d’arrestations et de tortures de femmes soupçonnées d’avoir enfreint les lois strictes des Talibans. Ces violations incluent des tortures physiques et psychologiques, ajoutant un fardeau supplémentaire aux femmes déjà confrontées à des restrictions politiques et sociales.
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- Restriction de la liberté d’expression :
Les Talibans restreignent la liberté d’expression des femmes, les empêchant d’écrire ou d’exprimer leurs opinions en public. Toute forme d’expression féministe est perçue comme une menace pour leur contrôle, et de sévères sanctions sont imposées à celles qui enfreignent ces lois.
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- Insécurité personnelle :
Les violations augmentent les risques de violence sexuelle et domestique, car les femmes manquent de protection juridique et de ressources pour signaler ces crimes. Cela exacerbe la souffrance des femmes et renforce l’insécurité personnelle qu’elles subissent.